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fractures comminutives ou compliquées. Mais quelles sont ces objections? Les voici : 1. En adoptant le sens général de la question, la Commission aurait « étudié l'action de la compression, l'une des plus puissantes, mais aussi l'une des plus dangereuses ressources de la chirurgie, et d'autant plus dangereuse qu'elle dépend du tact du praticien. » — « C'était l'occasion, ajoutent MM. les Commissaires, d'expliquer ces cas de sphacèle partiel ou général des membres comprimés, dans le traitement des fractures, et par ces explications répondre, peut-être victorieusement, à ceux qui opposent sans cesse ces cas malheureux à la propagation de l'appareil amidonné. »

2o Elle aurait anéanti « l'objection que font ceux qui attribuent la formation des ankyloses, après les fractures, à l'application du bandage amidonné. »

3o Elle aurait rassuré, « par des faits, ceux qui redoutent le relâchement de l'appareil ou le retrait des chairs. »

4o Enfin, elle aurait examiné la déambulation, « qui a été aussi en butte à de nombreuses et justes objections. »

Quant au premier point, M. Seutin a très-judicieusement fait observer qu'elle ne constitue pas à elle seule une des plus importantes qualités de la méthode inamovible; que ce que l'on regarde comme une compression, n'est, à proprement parler, que le maintien des fragments dans la plus grande immobilité, et par conséquent, dans le contact le plus exact; qu'en soutenant, en rapprochant légèrement les tissus, en suivant pas à pas, avec son bandage, le retrait des chairs, il modère, il arrête même l'afflux sanguin, il empêche l'inflammation, ainsi que ces cas malheureux de sphacèle général ou partiel des membres, que l'on attribue à tort au bandage amidonné; que de tels accidents sont impossibles quand on suit, pour la confection du bandage, les préceptes importants, indispensables que prescrit la méthode amovo-inamovible; et que s'il y a eu de pareils revers à déplorer, ce n'est pas à la méthode qu'il faut les attribuer, mais à la main inhabile qui l'avait employée, ainsi qu'au manque de soins et de surveillance, et souvent encore à une compression irrégulière, toujours contre-indiquée dans le traitement des fractures. «< Remplaçons donc, une bonne fois, s'est écrié M. Seutin, le mot compression par celui de contention, bien méthodique, bien mesurée, et abandonnons à tout jamais une expression dont on se sert pour effrayer ceux qui ne connaissent pas ma manière de voir. »

Cette réfutation à la première objection rappelée par la Commission, est la plus complète que l'on puisse faire; nous ferons seulement observer à M. Seutin que nous ne comprenons pas trop pourquoi il rejette, avec tant de dédain, le mot compression; car, il ne peut le nier, c'est bien la compression douce et régulière exercée par son appareil sur le membre fracturé, qui arrête l'afflux sanguin, empêche l'inflammation de s'y développer, et prévient la gangrène; c'est encore cette même compression qui arrête les progrès de l'inflammation, alors que celle-ci s'est déjà montrée. C'est là, certes, une des qualités du bandage amidonné qu'il importe de constater. Nous convenons, du reste, avec la Commission, que la compression est restreinte à certaines bornes que le praticien doit connaître. Mais cette recommandation ne s'applique pas seulement au bandage amidonné, elle constitue encore la règle de conduite dans le traitement des fractures par l'ancienne méthode, ainsi qu'on peut s'en convaincre dans les Traités de chirurgie, tant anciens que modernes. Dans l'une et dans l'autre méthode, si la compression est portée trop loin, ou exercée d'une manière irrégulière, on a à redouter les accidents signalés plus haut, mais ce sera alors à l'inhabileté du praticien, à son inexpérience qu'il faudra les attribuer.

Pour ce qui est de la seconde objection, rien n'était plus simple que de la détruire; il suffisait de faire remarquer, comme l'a fait M. Seutin, à ceux qui attri

buent la formation des ankyloses après les fractures, à l'application du bandage amidonné, il suffisait de faire remarquer, disons-nous, la facilité que l'on conserve, par cet appareil, d'imprimer des mouvements à toutes les articulations d'un membre fracturé. De là, le moyen d'éviter l'accident qu'on semble tant redouter. La troisième objection n'a pas plus d'importance. Dans la méthode de M. Seutin, on a soin d'ouvrir le bandage par la section, avec des ciseaux auxquels l'auteur a donné son nom: on s'assure par là de ce qui se passe, et aucun accident ne peut rester méconnu; s'il y a retrait des chairs ou relâchement du bandage, on prévient les dangers qui pourraient en résulter, soit en faisant chevaucher l'une sur l'autre, dans une étendue voulue, les deux valves du bandage, soit en retranchant, au moyen des ciseaux, une languette longitudinale d'une de ces valves, et en maintenant celles-ci dans un degré convenable de compression, à l'aide d'une nouvelle bande amidonnée appliquée par-dessus, soit enfin, si le relâchement ou le retrait sont peu considérables, en interposant entre le membre et le bandage, une compresse ou un peu d'ouate. Avec de pareilles précautions, il est impossible aux fragments de se déplacer. Ils ont donc bien mal vu, ou ils ont bien mal compris la méthode, ceux qui, selon l'assertion étrange de M. Phillips, et que nous n'avons vue imprimée nulle part, excepté dans le rapport, « voient le fémur se mouvoir dans la coque amidonnée, aussi librement qu'un pilon dans un mortier! »

Enfin, la déambulation constitue encore un des grands avantages de l'appareil amidonné ; elle n'est pas, comme l'affirme le rapport, « autre chose que le déplacement du malade hors de son lit et la possibilité d'aller s'asseoir dans un fauteuil ; » elle permet, au contraire, au malade de sortir de son lit, de marcher à l'aide de béquilles, et de se promener au grand air, sans que les parties fracturées éprouvent le moindre dérangement, ainsi qu'on peut le voir tous les jours à la clinique de l'hôpital St.-Pierre. Il faut en convenir, c'est là un des plus grands bienfaits de la méthode amovo-inamovible dans les fractures des membres inférieurs : outre qu'elle prévient les congestions hypostatiques, si fréquentes, surtout chez les vieillards, elle n'oblige pas le malade de rester couché dans une position gênante pendant toute la durée du traitement, comme cela a lieu pour les autres méthodes. Mais n'insistons pas sur ces avantages; ils sont suffisamment connus et appréciés. Disons encore, cependant, que M. Seutin a aussi la précaution d'interposer entre le membre et l'appareil, un ruban de fil (compressimètre) qui indique, par son jeu, s'il n'existe aucune compression dangereuse; et que, dans les fractures compliquées, des ouvertures ou fenêtres pratiquées au bandage dans toute l'étendue de la fracture ou d'une plaie, permettent des pansements journaliers, ainsi que l'écoulement facile du pus.

La seule question qu'il nous a été permis d'examiner, par le programme de M. Seutin, disent MM. les Commissaires de l'Académie, c'est l'application immédiate de l'appareil amidonné, dans les cas de fractures compliquées ou comminutives. C'est précisement la seule question dans laquelle la Commission devait se renfermer, en se rapportant, comme nous l'avons fait voir, au texte de la proposition. L'extrait suivant montrera comment cette mission a été remplie :

• Nos observations ont été faites à l'hopital St.-Pierre, sur treize malades, qui ⚫ étaient à cette époque en traitement.

Voici l'énumération des diverses lésions :

» Six fractures de la jambe ;

» Trois fractures de la cuisse ;

» Deux fractures de l'humérus, dont :

» Une fracture de l'épicondyle avec luxation du coude;

» Et deux fractures de l'avant-bras.

» Des six fractures du tibia, nous en écartons deux qui ne peuvent entrer dans

» ce cadre, parce que ce sont des fractures simples et sans complication. (Marga, » âgé de 19 ans, fracture de la jambe, et Bruseman, Jeanne, âgée de 54 ans, même > fracture.)

Il en est de même d'une fracture de l'avant-bras et d'une fracture de la cuisse. » (Van Thielen, âgé de 22 ans, et Vandamme, âgé de 9 ans.)

»ll reste donc neuf sujets, dont votre Commission a suivi le traitement avec » attention.

• Voici quelques détails sur les fractures de la jambe.

» Le nommé Vincent, âgé de 71 ans, étant ivre, se brisa, en tombant, les os de » la jambe, dans l'articulation tibio-astragalienne. Il y eut déchirure de la peau, » issue des esquilles, et le membre fut couvert de phlyctènes. Le bandage immé» diatement appliqué fut arraché par le malade, pendant la nuit. L'appareil fut placé de nouveau, et de nouveau, aussi, il fut arraché pendant la nuit suivante. » Malgré ces obstacles, malgré la violence et l'étendue du mal, il n'y eut presque ⚫ pas de fièvre. Cet homme entré à l'hôpital, le 18 février, en est sorti le 10 avril.

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Le second malade a eu le tibia brisé à son tiers supérieur, par une pierre » volumineuse. Cette lésion était compliquée d'une plaie de trois pouces de lon» gueur sur deux de largeur, laissant à découvert les muscles antérieurs de la jambe. L'appareil fut immédiatement appliqué. Ce malade qui ne s'est jamais » plaint de souffrir, entré à l'hôpital le 16 février, en est sorti guéri le 4 avril.

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» Le nommé Avaux, maçon, âgé de 59 ans, étant ivre, tomba dans un fossé et se » brisa le tibia. Apporté à l'hôpital, le 15 février, jour de l'accident, on constata » une fracture au tiers inférieur du tibia; le fragment supérieur faisait une forte »saillie en avant, et le 'déplacement était tel, qu'il y avait un raccourcissement » du membre de deux pouces ; la jambe était fortement ecchymosée. Le bandage ⚫ fut immédiatement appliqué, il n'y eut pas de fièvre : le malade put sortir de son ⚫lit, et, le 12 avril, il quitta l'hôpital.

» Le nommé Losa, âgé de 43 ans, eut le tibia brisé, en tombant d'une table sur ▾ le parquet; la fracture, au tiers inférieur de l'os, était comminutive, et elle avait » fait une plaie à la jambe. L'appareil fut immédiatement appliqué. Il n'y eut pas » de réaction inflammatoire, la plaie fut pansée tous les jours, par une petite ⚫ fenêtre, laissée ouverte dans le corps du bandage, et on ne vit aucun accident » entraver le traitement. Ce malade, entré à l'hôpital le 21 février, en est sorti » guéri le 26 avril.

» Votre Commission a suivi avec intérêt le traitement d'une fracture comminutive » de l'avant-bras. Le radius était brisé en deux points différents; le cubitus, rompu ⚫ à sa partie moyenne, avait déchiré la peau, et par cette ouverture passait une ⚫ esquille longue de six à sept lignes. L'appareil amidonné fut immédiatement » appliqué. Pendant plusieurs jours, les douleurs furent telles, que l'on dut ouvrir » le bandage; on vit alors un gonflement inflammatoire très-considérable; on appli» qua sur tout le membre de la glace pilée, et, sous l'influence de cette médication, » on ne tarda pas à voir diminuer les accidents inflammatoires. C'est du 3 au 29 mai » que tous ces symptômes alarmants se sont développés, et c'est seulement, après » avoir combattu par le froid l'inflammation et le gonflement du membre que l'on » a pu appliquer sans crainte le bandage inamovible. Cet homme est sorti guéri. ⚫ Parmi les fractures de l'humérus, deux seulement ont paru devoir faire partie ⚫ de ce travail, parce qu'elles rentrent entièrement dans les limites que M. Seutin ⚫ a données à sa proposition.

» La première est une rupture de l'os à sa partie moyenne, compliquée d'un » épanchement sanguin sur toute la face externe du bras, et d'un gonflement > inflammatoire considérable. Le bandage fut appliqué aussitôt après l'entrée du >> malade; aucun accident n'a entravé la guérison.

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» La seconde est une luxation du coude en arrière, avec fracture de l'épiphyse. » Après avoir réduit la luxation, on appliqua immédiatement l'appareil, malgré le » gonflement qui entourait l'articulation. Les mouvements ont été rétablis dans » cette jointure, et le nommé Mathieu, âgé de 15 ans, entré à l'hôpital le ler mai, » en est sorti guéri le 30 du même mois.

⚫ Nous citerons encore deux histoires de fractures, dont la gravité devait laisser » peu d'espoir à la guérison complète.

» Le nommé Plasman, âgé de 28 ans, fut apporté à l'hôpital le 10 juillet. On ⚫ reconnut une fracture oblique du sémur droit, une fracture longitudinale de la » rotule, la rupture du ligament avec plaie transversale au genou, une fracture du » cubitus gauche et une commotion cérébrale. Le bandage inamovible fut immé⚫diatement appliqué, et l'extension des membres inférieurs fut faite par des sacs » remplis de sable. Le malade eut du délire. L'appareil étant ouvert, on vit une ⚫ forte tuméfaction autour de l'articulation du genou. On appliqua deux vessies pleines de glace, et les symptômes graves ne tardèrent pas à diminuer d'inten»sité. Le 31 août, cet homme est sorti de l'hôpital. Le cal était solide; mais le mem»bre était un peu raccourci, et les mouvements du genou avaient perdu de leur étendue.

» Voici un second fait aussi grave que le précédent.

n Le nommé Van Opdenbosch, âgé de 29 ans, étant tombé d'un arbre, se brisa le » fémur droit et les os de l'avant-bras le radius sortait à travers la peau. La » mâchoire inférieure fut aussi brisée en trois points différents. Toutes ces parties » étaient très-tuméfiées. L'application de l'appareil fut faite à chacune de ces lésions, et l'extension de la cuisse fut produite par des sacs de sable. On fit plusieurs saignées, le délire étant devenu tel qu'on fut obligé de lier le malade » dans son lit. Après une médication antiphlogistique énergiquement employée, » le délire cessa, et les fractures furent traitées comme des fractures simples. Le » malade sortit de l'hôpital, le 29 novembre, ayant le membre un peu raccourci, » mais les mouvements de la cuisse et de la jambe libres, et marchant sans boiter; » la mâchoire est un peu déformée, mais ses mouvements ont conservé toute » leur étendue et toute leur liberté. (Bulletin de l'Académie, pages 358-362, ■ N° 6, 1835.)

Ces faits sont sans doute très-remarquables, et plaident assez haut en faveur du bandage amidonné. Cependant, ils ne paraissent pas satisfaire entièrement la Commission, car elle se demande si les avantages qu'elle a constatés dans les fractures de jambe, compliquées, avec plaies ou déchirures des articulations, « sont » aussi réels dans les cas de fractures très-obliques du fémur. »

La réponse est dubitative, car, après avoir rappelé qu'on attribue à l'appareil inamovible l'inconvénient grave du relâchement des bandes, ou le retrait considérable du gonflement, et que, dans l'un ou l'autre cas, les fragments obliques ne sont plus en rapport, peuvent chevaucher et produire ces raccourcissements si fréquents à la suite des fractures obliques du fémur, on dit dans le Rapport que les deux faits observés par la Commission, ne peuvent suffire pour établir la prééminence d'une méthode à l'exclusion générale des autres; et à ces deux faits, on en oppose deux autres tirés de la clinique de l'hôpital St.-Jean, et dans lesquels on eut recours à la position du membre fracturé sur un double plan incliné. Certes, deux faits ne peuvent suffire pour établir les avantages d'une méthode de traitement. En cela, nous sommes d'accord avec la Commission; mais des faits semblables existent en assez grand nombre, et MM. les Commissaires n'eussent pas été embarrassés de les trouver en compulsant les annales de la littérature médicale belge. Nous citerons particulièrement le Mémoire que M. Seutin présenta, en 1836, aux Sociétés médicales de Bruxelles et d'Anvers, à la suite duquel l'auteur a réuni au

delà de cent observations de fractures diverses et de toutes espèces, traitées avec succès par la méthode amovo-inamovible (1).

Nous pourrions, si c'en était ici le lieu, rapporter plusieurs faits intéressants qui nous sont propres; nous nous bornerons à dire que, pour notre part, nous avons employé et vu employer l'appareil amidonné pour des fractures de la cuisse, de la jambe, du bras, de l'avant-bras, simples ou compliquées, et que, dans aucun de ces cas, nous n'avons vu survenir d'accidents.

A l'exemple de plusieurs praticiens, nous avons aussi fait précéder l'application du bandage amidonné de l'emploi d'un appareil provisoire, constamment imbibé d'eau froide, dans le but de nous opposer au développement des accidents inflammatoires; mais nous avons reconnu, depuis, que ces précautions sont inutiles et que l'appareil inamovible appliqué méthodiquement prévient, au contraire, les accidents que l'on redoute avec raison.

Tous les praticiens n'ont pas obtenu d'aussi beaux résultats, nous dit-on; mais où sont les cas malheureux dont on parle sans cesse et qui, comme le dit le rapport, valent plus pour l'enseignement que des succès? Qu'on les cite, qu'on les montre, nous pourrons alors apprécier la valeur de cette objection. Sans doute, il doit en exister, comme on en a observé aussi dans le traitement par les autres méthodes; mais si, dans ces insuccès, on tenait compte des circonstances qui en sont cause, on trouverait, peut-être, qu'ils sont dus, la plupart, à des causes tout à fait étrangères à la méthode. C'est là, nous l'avouons, un point intéressant de la question, et qui mériterait bien d'être éclairé. M. Seutin, plus que tout autre, est à même, par sa position, de combler cette lacune; la science lui saura gré d'avoir dissipé toutes les craintes, levé tous les doutes, et le service immense qu'il a rendu à la chirurgie ne restera pas incomplet.

Arrivons maintenant aux conclusions du rapport.

Des faits observés, la Commission conclut :

« 1° Que, dans les fractures simples, le bandage inamovible, appliqué immédiate

» ment, a sur toutes les autres méthodes de très-grands avantages. »>
Voilà qui est clair et précis, mais qui s'écarte complétement de la question.
Le second paragraphe des conclusions porte :

20 Que des accidents formidables se développent quelquefois pendant l'applica» tion de l'appareil inamovible, de même que dans l'application de la méthode des » pansements renouvelés..

« Pendant l'application........, » notons bien ceci, cela ne veut pas dire que les accidents formidables sont dus à cette application, mais qu'ils peuvent se développer durant cette application. C'est, du reste, aussi ce que nous avons pu voir par l'histoire succincte des cas observés par la Commission.

Accidents formidables!! L'expression est bien mal choisie, car dans les faits observés par la Commission (et notez-le bien, c'est d'après ces faits que la Commission conclut), nous cherchons vainement à uous rendre compte de ces accidents si terribles : nous ne trouvons que du gonflement inflammatoire dans trois faits dont un avec du délire, et un quatrième fait est accompagné de délire, et si nous avons bien interprété, ces accidents sont loin d'être dus au bandage; celui-ci, au contraire, a été d'une utilité évidente pour les modérer ou les combattre.

Le troisième et dernier membre des conclusions est ainsi conçu :

3o Et dans le but de compléter le travail qu'elle a commencé (la Commission), » elle vous propose d'engager M. Seutin à donner le plus de publicité possible aux » faits de sa clinique. »

(1) Du bandage amidonné, ou Recueil de toutes les pièces composées sur ce bandage depuis son invention jusqu'à ce jour; par L. SEUTIN, in-8°. 1840, page 133.

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