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donné le calomel comme altérant seul, ou mêlé à l'opium (1); son action est lente et ne peut être évidemment constatée.

On a employé les frictions mercurielles depuis fort longtemps, car Ettmuller en fait mention (2), M. Trousseau les a prescrites avec avantage (3), M. Chomel les a expérimentées sans succès (4).

Les fumigations de cinabre pourraient être utilement dirigées vers les parties souffrantes, si l'on soupçonnait une complication syphilitique. Ce moyen serait trèsconvenable.

Les bains de deutochlorure de mercure ont été recommandés dans ces derniers temps, et quoique Biett ne les ait pas approuvés, on ne peut contester leurs succès. M. Bonnardel a inséré dans la Gazette médicale, un excellent mémoire sur leur emploi ; il relate d'abord les opinions diverses des praticiens sur l'usage du mercure dans le rhumatisme et la goutte, et rapporte les observations de Bona (Hisloria aliq. cur. subl. corr. perfect., 1758), de Moseder (Ehrmann, diss, de usu mercur. subl. înt.), de Haën, Fizeau et principalement celles de Wedekind, qui, pendant quarante ans, a employé de la manière la plus heureuse, les bains de sublimé corrosif dans les rhumatismes chroniques, dans les maladies articulaires sans fièvre, les tumeurs blanches et les rachitis. Il faisait dissoudre parties égales de deuto chlorure de mercure et d'hydrochlorate d'ammoniaque, commençant par 5 à 6 grammes s'élevant jusqu'à 15 (5). MM. Récamier et Trousseau, qui ont fréquemment employé cette méthode, donnaient de suite cette dernière dose par l'addition de l'hydrochlorate, addition qui me paraît cependant très-judicieuse. M. Bonnardel a rapporté avec détail, cinq observations qui prouvent l'efficacité des bains de sublimé. On avait pensé que, par ce mode d'administration, les ma. lades étaient à l'abri de la salivation. Mais un fait observé par ce médecin, ne permet pas d'admettre cette assertion comme entièrement exacte. Quelques exemples nous autorisent cependant à ne pas la regarder comme dénuée de fondement.

Les bains mercuriels sont d'excellents moyens qui auront une application heureuse quand il s'agira de complication syphilitique, comme cela est si commun dans les rhumatismes chroniques apyrétiques, avec ou sans tumefaction des parties affectées, et avec des douleurs simulant celles qu'on nomme ostéocopes.

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Je suis naturellement amené à parler d'un moyen précieux que la pratique moderne substitue dans un grand nombre de cas au mercure.

Je ne dirai qu'un mot de l'iode qui a été considérée par M. Gendrin, comme une sorte de spécifique de la goutte et des bains iodurés qui peuvent trouver, dans le rhumatisme chronique avec tuméfaction des articulations et disposition scrofuleuse, un emploi utile. Je souhaite surtout mentionner l'iodure de potassium, dont l'action altérante, modificatrice des tissus malades, est bien avérée et dont l'emploi intérieur n'est nullement dangereux.

Beaucoup de nos malades soumis à notre observation, ont usé de l'iodure de

(1) Davies; Annales de littér, méd, étrang., t. 16, p. 59.

(2) Praxis; 1. II, sect. 2, c. III, art. 8.

(3) Journal des connaiss. médico-chirurgicales, t. 1, p. 75. (4) P. 314.

(5) MM. Trousseau et Pidoux, qui préconisent ce moyen, portent la dose jusqu'à 30 grammes par bain.

potassium à doses assez fortes sans excitation vive des voies digestives (1). Ce médicament nous a paru posséder une valeur incontestable. Parmi plusieurs faits, en voici quelques-uns qui justifieront cette opinion.

72o OBS. — Bazin, âgé de 50 ans, marié, tonnelier, de petite taille, ayant la courbure dorsale du rachis fortement prononcée, sujet à une otorrhée fréquente, à des tintements d'oreilles, éprouve, depuis trois ans, des douleurs dans la région lombaire. Ces douleurs sont sujettes à des exacerbations irrégulières; elles se propagent le long du rachis, rendent la marche difficile, même la station pénible. Les genoux et les articulations tibio-fémorales sont devenus douloureux.

Tel était l'état de ce malade le 3 août 1840, jour de son entrée à l'hôpital; il n'avait point de fièvre. On établit des cautères sur les côtes du rachis, on administra seize bains légèrement sulfureux. L'état n'offrait pour ainsi dire pas d'amélioration. L'iodure de potassium qui avait été commencé à la dose de 0,30 dès le principe, fut continué pendant 32 jours et porté à 1,40. Le jour de sa sortie, c'està-dire, le 16 octobre, Bazin n'avait plus aucune douleur; il pouvait, assez facilement, se tenir debout et marcher; il avait pris de l'embonpoint.

73a Ogs. — Jeanne Couderc, âgée de 34 ans, d'une constitution forte, mais d'un tempérament lymphatique, éprouvait, depuis trois mois, des douleurs dans les genoux, les jambes, les épaules et les bras. Il n'y avait dans ces parties, ni rougeur, ni chaleur, ni tuméfaction, ni même une vive sensibilité à la pression; les douleurs étaient plus vives la nuit que le jour, les mouvements étaient fort difficiles, Cette malade fut admise à la clinique le 4 septembre 1842; elle n'avait point de fièvre; elle ne prit qu'un bain sulfureux et quelques doses d'extrait d'aconit. Le moyen employé de la manière la plus suivie, est l'iodure de potassium, dont la dose fut maintenue à 40 centigrammes pendant neuf jours. Les douleurs furent dissipées au bout de ce temps...

Ces douleurs ressemblaient beaucoup à celles que l'on nomme ostéocopes; elles appartenaient à l'ordre du rhumatisme chronique apyrétique sans tuméfaction. Dans le cas suivant il y avait tumefaction. L'iodure de potassium, dans cette autre série, a une action non moins réelle.

-

74. OBS. — Antoine Lamné, âgé de 38 ans, colporteur, d'une constitution dété riorée, contracta pendant l'année 1837, des chancres qui cédèrent à l'emploi de l'onguent mercuriel. Il n'y eut point de traitement intérieur.

Au mois d'août 1842, il fut atteint de dysenterie qui dura deux mois.

En octobre de la même année, il sentit des douleurs vagues dans les membres inférieurs, qui, plus tard, se fixèrent à la partie interne des tibias et s'accompa gnèrent de tuméfaction avec rougeur et chaleur. Plusieurs vésicatoires furent successivement appliqués sur les points douloureux, mais n'apportèrent aucun soulagement. Dans ces circonstances, Lamné se présenta à la clinique le 25 décembre 1842.

11 ressentait, principalement la nuit, des douleurs de long dela crête et à la partie interne des tibias, le périoste en ces endroits était tuméfié, il n'y avait ni rougeur ni chaleur. Les articulations ne présentaient aucun engorgement; les organes digestifs et respiratoires ne présentaient aucune apparence de lésion. Frictions avec la pommade suivante :

2,0

Axonge
Ong. mercuriel

30,0

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Tisane de chiendent avec iodure de potassium 0,20

Le 29, les douleurs persistaient et l'on pouvait facilement distinguer, le long des

(1) Quelques phthisiques en ont pris jusqu'à une période très-avancée, 2 grammes par jour; à la nécropsie leur estomac n'a présenté aucune trace d'inflammation.

Libias, des dépressions et des saillies; celles-ci étaient évidemment formées par la tumefaction du périoste.

L'iodure de potassium fut continué pendant un mois à la dose de 1,00, en même temps l'alcoolature d'aconit fut administrée, on en donna d'abord 10 gouttes, plus tard on atteignit le nombre 30, on conseilla en outre quelques bains avec le sulfure de potasse 100,00.

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Cette médication produisit un mieux véritable, le gonflement des tibias, les douleurs diminuèrent sensiblement.'

Le 28 janvier, il y avait de l'insomnie, quelques douleurs vagues dans les mêmes points; alors le traitement mis en usage fut suspendu, et l'on prescrivit des pitules de cynoglosse, des frictions furent faites avec la pommade d'iodure de potassium. Le 3 février, pouvant marcher sans peine et ne souffrant point, Lamné demande à sortir de l'hôpital.

Si l'iodure de potassium ne fut pas le seul médicament employé, du moins il cob 290 fut le principal. A ces faits il serait facile d'en joindre plusieurs autres qui prouveraient l'efficacité des préparations d'iode dans les affections rhumatismales chroniques com pliquées de scrofules ou d'affection syphilitique.

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C'est sans doute à cause de la petite quantité d'iode contenue dans l'huile de foie de morue, que l'on a attribué des vertus à cette huile. Déjà usitée dans le Lancashire et à l'hôpital de Manchester, elle fut vantée par Bardsley dans la rigidité des membres (1), par Percival et Darbley dans le rhumatisme. En 1822 2 Schenk publia dans le journal d'Hufeland, une série d'observations sur l'utilité de ce médicament, dès lors une foule de médecins allemands en firent usage. En 1830, le docteur Viester inséra dans le Journal des Progrès (2), 'an mémoire sur les propriétés et les effets de l'huile de foie de morue dans le rhumatisme.

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Plusieurs de nos malades en ont fait usage sans avantage marqué; on pourrait se plaindre de ce qu'ils n'en ont pas fait un emploi assez prolongé, mais lorsqu'un médicament ne parait produire aucun bien, et que son goût est repoussant, il est souvent difficile d'en obtenir un long usage; je rappellerai surtout l'observation 13e du nommé Serean, qui prit inutilement l'huile de foie de morue pendant dix jours et retira de si bons effets de l'iodure de potassium, fa, moes of tên vulg **** XII. QUINQUINA. SULFATE DE QUININE.AMERS. (2016175.9 G meitu ala - trofeop gh Sydenham essaya le quinquina contre la goutte; Meld traita ce remède de diving Mortin l'empløya dans le rhumatisme qu'il considérait comme une fièvre larvée. Haygarth, qui en avait reçu l'idée de Fothergill le prescrivit à la dose de 25 à 75 centigrammes toutes les deux, trois ou quatre heures; Double en conseillait de petites quantités quand te rhumatisme avait cessé d'être aigu, pu qu'il en restait, même après la guérison, de légères traces vers le siége premier de la maladie, ou qu'il y avait des douleurs vagues dans les diverses parties. Double proposa aussi, à la même époque, en pareille circonstance, le sulfate de quinine.

Ce dernier médicament vient de faire le sujet de bien vives discussions; M. Briquet n'a pas craint d'en donner plusieurs grammes par jour. Les effets produits ont d'abord paru tenir du prodige. J'ai vu, dit un élève dévoué de ce médecin, des individus qui, depuis plusieurs années, ne pouvaient presque plus se servir de leurs membres à demi ankylosés, et qui, sous l'influence du sulfate de quinine, opéraient leurs mouvements avec une liberté presque normale. Mais, ajoute cet P. 164.

(1) Aunales de littérature médicale étrangère, 1, 9, (2) T. 2, P. 184.

-ut. Ja Patoler ngàb zob ami consciencieux, l'expérience a prouvé que ces merveilleux résultats n'étaient que momentanés. Les malades sortis de l'hôpital ne tardaient pas à voir revenir leur infirmité. C'est ainsi que j'ai rencontré à la Charité plusieurs individus que j'avais vus en apparence parfaitement guéris à l'hôpital Cochin; je dois aussi ajouter que les observations du professeur Andral, qui pendant un temps avait grande confiance dans le nouveau mode de traitement, l'ont porté à conclure que les accidents du côté du cœur étaient plus fréquents lorsque les individus avaient été soumis au sulfate de quinine qu'on ne l'observait à la suite de la médication ordinaire (!), on

Je n'ai pas besoin de rappeller que M. Mélier a soumis à une critique sévère le mode d'administration du sulfate de quinine employé par le médecin de l'hôpital Cochin, il a taxé d'empoisonnement l'effet, fâcheux dont ce médicament est susceptible.

Des doses excessives peuvent irriter vivement les organes digestifs, bien qu'en maintes circonstances elles soient tolérées. Mais à quoi bon, dans une maladie qui ne fait pas courir un danger imminent, prodiguer ainsi un agent qui exige quelque réserve? Pourquoi s'écarter à ce point des données de l'expérience ? Certes je serais loin de m'élever contre le progrès, de blâmer les innovations fructueuses, mais je voudrais y voir un avantage réel, un but, échappant à d'autres moyens moins hasardeux, Le sulfate de quinine à très-haute dose n'est qu'un révulsif puissant, appliqué sur la muqueuse des voies digestives; ses effets rentrent dans la catégorie des avantages ou des inconvénients, de cet ordre de moyens,

Différents amers ont été vantés dans le rhumatisme; tels sont le ménianthe (2), la germandrée, le suc d'artichaut (3), etc., ils ne méritent pas d'arrêter plus longtemps notre attention.

Zinause no jämnetem szerezeXIII, ÉLECTRICITÉ,

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Depuis la dernière moitié du siècle dernier, l'électricité a été souvent employée dans le traitement des maladies chroniques. Le rhumatisme a compte sa part de succès dans cette e excursion de la physique sur le domaine de la médecine. Le mémoire remarquable de Poma et Arnaud, en a fait connaitre un certain nombre (4). Lanphir (5) Fherson (6) Demiani (7) Scudamore (8), en ont donné quelques-uns; Bailly et Meyrans en ont ajouté plusieurs (9). Un fait assez curieux est celui de la guérison de douleurs rhumatismales par le tonnerre (10). L'effroi pourrait bien partager avec le fluide électrique l'honneur de la cure, nul doute au reste que l'électricité ne puisse avoir un effet avantageux dans le rhumatisme chronique chez les per sonnes d'une constitution molle, dont il importe de stimuler la fibre et d'activer la circulation capillaire.

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Hildenbrand, faisant jouer un rôle à l'électricité dans la production du rhumą

(1) Cette note est extraite de la thèse de M. Gustave-Charles de Poyen, relative à la fièvre typhoide. 26 avril 1843,

(2) Double; ouv. cité,

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*! (3) Gazette médicale, 2e série, t. 1, p. 257, Journal des connaissances médico-chirur

gicales, 1836, t. 1, p. 18.

44) Ancien journal, t. 72 et 73.

[(5) Medical commentaries, t. 8; p. 314.

(6) Memoirs of the medical Society of London, t. 1, p. 221.

1947) Baldinger Sillogu, t. 4, p. 27.

(8) T. 2, p. 319.

(9) Revue médicale, t. 4, p.

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56 et 57. Archives, t. 9, p. 67.

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tisme, a vanté l'application des corps idio-électriques sur la surface de la peau; đe là selon lui l'utilité de la flanelle, du coton, du taffetas gommé, des substances résineuses et balsamiques en contact avec les régions souffrantes (1).

Ce fut encore sous l'influence d'une doctrine physico-médicale que Perkins imagina de diminuer les douleurs arthritiques par l'attouchement des parties malades avec des aiguilles ou tracteurs métalliques. Plusieurs médecins danois accordèrent quelque confiance à ce genre de traitement qui est entièrement négligé.

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XIV. ACUPUNCTURE. ÉLECTRO-PUNCTURE.STE » amb sb-xət L'attention publique a été fixée pendant quelque temps sur les heureux effets de l'acupuncture. M. Jules Cloquet donna une grande vogue à ce moyen qui rapidement passa par la triple période de l'éloge, de l'enthousiasme et de l'oubli. is, mais je peux

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Je ne parlerai pas des faits nombreux êmanés de l'hôpital St.-Louis, citer ceux fournis par la clinique de l'Hôtel-Dieu. M. Récamier vit l'acupuncture utile dans des cas de sciatique, de lumbago, de pleurodynie (2); M. Andrieux observa la cessation prompte d'un rhumatisme goutteux (3). Le docteur Tanchou constata un résultat analogue dans un rhumatisme des muscles thoraciques et du diaphragme (4). Au' rapport du docteur Darswell, des succes furent obtenus à Birmingham dans divers cas de rhumatisme, surtout du deltoide (5). Née en Asie, l'acupuncture y fit un retour éclatant. Le docteur Brelt se montra le chaud partisan de son emploi dans le rhumatisme chronique chez les naturels du Bengale; il introduisit des aiguilles jusque dans l'articulation du genou (6), zinatoza fal Depuis quinze ans il n'est plus question d'acupuncture; cet oubli est injuste, car il est positif que des douleurs anciennes, nerveuses, des rhumatismes partiels apyrétiques opiniâtres furent heureusement modifiés par l'introduction réitérée des aiguilles. 271-15 moi selamu 2062 29.j

M. Sarlandière eut l'utile pensée de combiner les effets de l'électricité avec ceux de l'acupuncture, ou plutôt de se servir des aiguilles pour donner au fluide électrique une direction déterminée à travers les tissus qu'il importait de soumettre à son influence. 56q estiloq ob 6 noif suroh On ne peut nier l'action manifeste de ce modificateur; quelques-uns de nos malades y ont été soumis; nous n'avons pas observé des effets curatifs immédiats. Voici l'un des faits les plus favorables.

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75c OBS.— Lasserre, âgé de 18 ans, forgeron, après s'être exposé à un courant d'air froid, ressentit une douleur vive dans la région poplitée droite; l'articulation se tuméfia; plus tard le genou gauche s'affecta de même, devint chaud; le mouvement fut impossible des deux côtés, on fit une saignée du bras, on' mit des ventouses scarifiées autour des genoux..

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Entré le 5 septembre 1842 à la clinique, ce malade fut de nouveau soumis à l'application des ventouses; on usa de bains, d'onctions iodurées, etc. Ce traitement dura 17 jours, l'affection était amoindrie mais persistait encore. Pendant quatre séances (les 26, 27, 28, et 29 septembre), l'électro-puncture fut employée, une aiguille pénétrait dans la région fessière et l'autre placée sur le côté éxterne 110.

1

(1) Journal des progrės, t. 5, p.
(2) Revue médicale, 1825, t. 1, p. 30.
(3) Biblioth. med., 1825, t. 8, p. 316.

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(4) Bulletin de la Société médicale d'émulation, 1825, p. 146. (5) Edimburg Journal, 1825, t. 24, 214. P. Des guérisons eurent lich aussi à Turip (Revue médicale, 1825, t. 3, p. 406), en Amérique (Gazette médicale, t. 5, p. 298). (6) Transact, of the med. Soc. of Calcutta, t. 5, p. 443.

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