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trécissements de l'urèthre, d'après des recherchcs particulières d'anatomie pa. thologique sur les coarctations urethrales. – (Renvoi à l'examen de la 3a section.)

M. le docteur CAROLUS, de Malines, envoie en dépôt un paquet cacheté contenant, aux termes de sa lettre, «la déclaration d'une découverte qui concerne l'art de guérir..

Le premier objet à l'ordre du jour est le rapport de M. VERBEECK, au nom de la 3 section, sur quatre observations de M. DECAISNE, relatives: la première, à un kyste hydatique du poignet; la seconde, à un cas de néphrite aigue avec abcès dans la région lombaire; la troisième, à une luxation en avant de l'extrémité sternale de la clavicule, et la quatrième, à une fracture simultanée des deux radius.

Ce rapport ayant été imprimé et distribué, M. le président accorde la parole à M. Decaisne. Ont ensuite été successivement entendus sur le travail de ce membre et sur le rapport de la section, MM. Lutens jeune, De Lavacherie, Michaux, Scutin, Lombard et Verbeeck.

Conclusions remercîments à l'auteur de cette publication. Il sera statué dans une prochaine séance sur l'impression de sou travail.

neaux.

M. GRAUX lit, au nom d'une commission spéciale, un rapport sur l'appareil à irrigation ou injections continues, du docteur Eguissier, fabriqué par M. Libault-DespruLes conclusions de ce rapport sont ainsi conçues : L'appareil bien confectionné et toujours tenu dans un état convenable, peut remplacer avec avantage tous ceux inventés jusqu'à ce jour. »

Après une discussion à laquelle ont pris part MM. Seutin, Graux et Lombard, ces conclusions sont écartées par la question préalable.

L'ordre du jour appelle ensuite la discussion sur le rapport présenté par M. MARINUS, au nom de la 4 section, relatif à un travail de M. le docteur Thauvoye, de Pâturages, communiqué à l'Académie, par M. le Ministre de l'intérieur, et ayant pour titre: Mémoire sur plusieurs questions de jurisprudence médicale, relatives à la suspension, à propos d'un cas de pendaison remarquable par ses particularités. MM. François, Lombard, Lebeau, de Mersman, Marinus, Burggraeve et Guislain prennent successivement la parole sur cette communication. Après la clôture de la discussion, M. le président annonce que les conclusions du rapport tendent à prier M. le Ministre de l'intérieur de remercier M. le docteur Tauvoye de sa communication, et de permettre à la compagnie de déposer ce travail dans ses archives. - Ces

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M. DUPUY demande qu'on adjoigne à cette commission celle de la peste. (On rit.) La peste, dit-il, n'a commencé à régner en Égypte que du moment où l'on a cessé la pratique des embaumements. Nul doute, selon lui, que si cette pratique était remise en usage, la peste disparaîtrait. Il ne serait donc pas sans quelque avantage, pour l'éclaircissement de ces deux questions, de mettre en rapport les commissions qu'elles concernent.

Cette proposition sera prise en considé~ ration par les membres de la commission.

M. BLANDIN présente un malade auquel il a pratiqué l'ablation d'un cancer occupant tout le voile du palais jusqu'au pharynx. Iln'y avait point d'engorgement des ganglions cervicaux. M. Blandin a pratiqué la ligature, moyen d'ablation dont M. Récamier a déjà retiré d'heureux résultats. Il a lié tout le pourtour de la tumeur à l'aide de points de suture; le cancer est tombé spontanément au bout de quelques jours. Une petite portion malade étant restée, elle a été circonscrite par une nouvelle ligature, qui en a déterminé promptement la ligature. Aujourd'hui ce malade est complétement guéri. Une circonstance remarquable, c'est la régularité avec laquelle les débris de la membrane muqueuse du palais se sont rapprochés par suite du retrait de la cicatrice, de manière à reconstituer en quelque sorte un nouveau voile du palais.

Séance du 28 janvier.
M. RocHoux lit un rapport intitulé: De

l'inutilité des mesures sanitaires.— C'est dans un esprit de conciliation que le savant académicien consent à considérer les mesures sanitaires en France tout simplement comme inutiles. A l'imitation de Chervin, il les déclare irrationnelles, absurdes, désastreuses pour la santé publique, sans compter le tort qu'elles font au commerce. S'appuyant sur les observations de M. Haucourt, qui montre la peste se limitant à certaines localités, absolument comme sont les typhus, les fièvres jaunes, l'auteur ne croit pas que la peste soit plus contagieuse que ces diverses affections. Il lui semble, au contraire, que pour la peste comme pour le typhus, il y a tout à craindre de la concentration et de l'encombrement des malades, tandis que le principe producteur se détruit promptement et facilement par leur dispersion, l'aération, la propreté, la ventilation. Enfin, ajoute M. Rochoux, les esprits éclairés ont depuis longtemps reconnu et signalé les graves inconvénients, la noxiété des quarantaines faites à bord. Leur opinion a fini par être goûtée de M. Hamont, qui propose de supprimer ces quarantaines Vous serez, ajoutet-il encore, sans doute, comme moi, de son judicieux avis.

Séance du 11 février.

M. Roux lit un mémoire sur les anévrýsmes des os. Sur la demande de plusieurs membres, ce travail est renvoyé au comité de publication.

M. BLANDIN présente à l'Académie une femme à laquelle il a enlevé un cancer de la paupière inférieure. Il a pratiqué ensuite la blépharoplastie en emprantant un lambeau de peau à la région frontale et l'opération a parfaitement réussi. Voilà trois mois que ce fait a eu lieu, et il n'y a aucune apparence de répullulation du mal. -M. Blandin sc croit d'autant plus autorisé à espérer une guérison complète, qu'il a obtenu un pareil résultat dans une circonstance analogue chez un homme dont la guérison date maintenant de dix-huit mois.

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M. BERARD présente les pièces pathologiques d'une femme chez laquelle il a prati qué, il y a environ six semaines, l'oblitération du vagin pour une fistule vésico-vaginale ayant détruit toute la paroi postérieure de la vessie, de son col et d'une portion de l'urè thre, avec rétroversion et hernie de la portion restante de la vessie. L'opération avait parfaitement réussi; la cicatrisation était presque complète, l'urine s'écoulait claire et limpide par la sonde placée à demeure dans le canal. Pendant trois semaines tout faisait concevoir les plus grandes espérances de réussite lorsque la malade a été prise de péritonite et y a succombé, dix-huit jours

après l'invasion.- A l'autopsie, on a trouvé les signés d'une péritonite disséminée, joints à ceux d'une pleurésie. La vulve était presque entièrement oblitérée. Inférieurement et supérieurement, il existe seulement deux petits pertuis ; l'inférieur communique dans le vagin, le supérieur dans la vessie. La partie adhérente de la valvule est longue de deux centimètres et épaisse de six millimètres; elle est constituée par la cloison intérieure de la vulve. L'opération, dit M. Bérard, avait donc presque réussi, et il eût été facile de fermer les deux petites ouvertures qui n'avaient pas été oblitérées. La mort ne saurait, selon lui, être imputée à l'opération. Ce fait doit donc encourager des tentatives nouvelles.

Les séances des 18, 25 février et 4 mars, ont été occupées par la discussion sur l'observation communiquée par M. Bérard.

Séance du 11 mars.

M. JOLLY lit un rapport sur un mémoire de M. BELHOMME, intitulé: Nouvelles recherches d'anatomie pathologique sur le cerveau des aliénés affectés de paralysie.

Conclusions: remerciments et insertions dans le Bulletin.

Après une discussion assez longue, les conclusions sont adoptées.

Séance du 18 mars.

M. VILLENEUVE lit un rapport sur un appareil présenté par M. BERGERON, mécanicien-orthopédiste, destiné à remplacer les pessaires dans les cas de chute de matrice.

Cet appareil consiste en un bandage auquel vient s'adapter une tige recourbée, portant une cuvette destinée à soutenir et à contenir le col de l'utérus. M. le rapporteur cite un assez grand nombre de faits communiqués par des médecins ou vus par les membres de la commission, dans lesquels l'emploi de cet appareil a parfaitement rempli le but qu'on se proposait. Il croit donc pouvoir conclure que cet appareil est utile et supérieur à tout ce qui a été inventé jusqu'ici pour obvier aux incommodités qui résultent de la chute de l'utérus.

Après une discussion dans laquelle MM. Nacquart, Velpeau, P. Dubois, Moreau, Gerdy et Bérard sont successivement entendus, l'Académie adopte l'amendement de M. Gerdy, ainsi conçu : L'Académie déclare que cet appareil, qui d'ailleurs n'est pas nouveau, peut offrir des avantages dans quelques cas.

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» Commission médicale provinciale de Brabant, vient de soumettre au Conseil d'ad>> ministration des hospices, le projet de » nommer dans chacun des hôpitaux civils » deux médecins et deux chirurgiens. Cette proposition, faite à la Commission pro»vinciale par M. le docteur Thibou et soutenue par M. Seutin (cela fait honneur à » ce dernier), a été favorablement accueillie » par la députation. Puisse-t-elle l'être aussi Nous par le Conseil des hospices! joignons volontiers nos vœux à ceux exprimés par MM. les rédacteurs de la Gazette médicale, car, comme eux, nous pensons que le service de santé des hôpitaux civils est assez considérable pour attacher à chaque hôpital deux médecins et deux chirurgiens au lieu d'un. La science et l'enseignement clinique tireraient leur profit de la réalisation de ce projet. Si nous sommes bien informés, il serait même question dans ce projet de nommer un adjoint pour chaque titulaire. Le Conseil général d'administration des hospices satisferait ainsi à toutes les exigences: il permettrait aux médecins et aux chirurgiens instruits de se produire, en même temps qu'il assurerait la bonté du service. Mais en prenant une semblable résolution, il faudrait aussi que les nominations se fissent à l'abri de l'intrigue et du favoritisme, toujours pernicieux à l'homme modeste et savant. Il faudrait que le Conseil tint compte des titres acquis et des services déjà rendus à l'administration, et qu'il suivit, en un mot, le système d'avancement en faveur des candidats qui occupent des emplois inférieurs, soit dans les hospices, soit dans le service médico-chirurgical de la bienfaisance, ainsi que déjà il en avait pris la résolution.

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« Apprécier la valeur réelle des services rendus par l'étude des lésions matérielles dans le traitement des maladies du système lymphatique. » Prix : une médaille d'or de la valeur de 100 fr. Les mémoires devront être adressés avant le 15 novembre 1845, à M. le docteur Froment jeune, secrétaire général, à Nimes.

NÉCROLOGIE.

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Le docteur Abercrombie, l'un des médecins de la Grande-Bretagne les plus connus sur le continent, est mort subitement à Édimbourg le 14 novembre 1844, à la suite d'une rupture du ventricule gauche du cœur. Il était âgé de 63 ans. M. Ribes, officier de la Légion d'honneur, ancien chirurgien-major breveté en 1794, attaché aux ambulances de l'armée d'Espagne en Catalogne, chirurgien de la première division de l'ambulance près de l'Empereur, médecin principal de 1re classe, ancien médecin en chef de l'hôtel des Invalides, membre de l'Académie royale de médecine, etc., est mort à Paris le 21 février dernier, à l'âge de 70 ans.

M. Ollivier (d'Angers), membre de l'Académie royale de médecine, etc., auteur d'un bon Traité de la moelle épinière et de ses maladies, est mort à Paris le 11 mars dernier à 7 heures du matin, à la suite d'une courte maladie. C'est une perte pour la science en général, mais en particulier pour la médecine légale à laquelle il a rendu d'importants services. Ollivier, d'Angers, n'avait que 49 ans. Il était membre correspondant de la Société des sciences médicales

et naturelles de Bruxelles.

Le nestor des médecins de Bruxelles, le vénérable docteur Van Cutsem, médecin en chef de l'hôpital Saint-Jean, membre honoraire de la Société des sciences médicales et de l'Académie royale de médecine de Belgique, est décédé le 4 mars dernier, à l'âge de 75 ans. Plusieurs discours ont été prononcés sur sa tombe: par M. Graux, au nom de l'Académie royale de médecine; par M. André Uytterhoeven, au nom de la Commission médicale provinciale; par M. George, au nom de la famille du défunt; par M. Simonart, au nom des élèves de la Faculté de médecine. Nous regrettons de ne pouvoir, faute d'espace, les reproduire ici.

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DE MÉDECINE.

(MAI 1845.)

1.- MÉMOIRES ET OBSERVATIONS.

DU RHUMATISME, de ses symptômes, de son diagnostic différentiel, de sa nature el de son traitement prophylactique et curatif. — Mémoire auquel la Société des sciences médicales et naturelles de Bruxelles a décerné une médaille d'honneur au concours de 1843; par HENRI GINTRAC, ex-aide de clinique médicale et prosecteur à l'École préparatoire de médecine et de pharmacie de Bordeaux.

(Suite et fin. Voir le cahier d'avril 1845, p. 217.)

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V. DIURÉTIQUES.

Les diurétiques ont été recommandés dans le traitement du rhumatisme. 1. Le nitrate de potasse a été prescrit à haute dose par Brocklesby, Macbride, Williams, White et par M. Gendrin (1).

Associé au camphre et donné à doses petites, mais réitérées, il nous a paru avantageux dans le rhumatisme aigu, quand les émissions sanguines avaient été suffisantes.

II. La digitale pourprée a été conseillée comme diurétique et comme modérateur de la circulation du sang; dans un cas, elle parut concourir à la guérison du rhumatisme.

62o OBS. — Jeanne Luçon, âgée de 36 ans, régulièrement menstruée, atteinte, il y a un mois, d'un rhumatisme siégeant à l'une des jambes, éprouve actuellement la même affection à l'épaule droite ; il y a de la fièvre. Une saignée est pratiquée, le sang est couenneux. Il survint de l'oppression, la douleur s'étendit du côté droit. du thorax, puis au flanc du même côté; le pouls est toujours fréquent. La digitale est donnée à la dose de 15 centigrammes avec 5 d'extrait gommeux d'opium. Ces moyens employés d'une manière persévérante pendant huit jours, conduisent cette malade à la guérison.

La digitale est souvent administrée avec le nitrate de potasse; c'est une utile association.

III. La ballota lanata a été préconisée par les docteurs Brera et Luzzati (2); nous n'en avons point fait usage.

IV. Le colchique d'automne dont les bulbes contiennent de la vératrine, a reçu les éloges d'un certain nombre de médecins. Il paraîtrait que dès la fin du XIIIe siècle, Démétrius Pépagomène l'avait mis en usage; mais c'est surtout à une époque plus récente qu'il a été prescrit par les praticiens anglais Armstrong, Battley, William,

(1) Gazette méd., t. 9, p. 316. Journal des connaiss, médico-chirurg., 1837, p. 65. (2) Revue médicale, 1836, t. 3, p. 397.

Scudamore et t le Danois B Bang. Les Allemands l'ont vanté ; un médecin de Zurich, Locher-Balber, a publié six observations de guérison obtenues par son secours, M. Godard en a rapporté trois, et le professeur Luigi Marchesani trois autres, également favorables (1).'

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Le docteur Krichow a donné la' préférence à l'infusion vineuse de semences, et M. Bushell aux fleurs séchées et macérées dans l'alcool.' '

Chez un certain nombre de nos malades, le vin des bulbes a été employé et celui des semences a été aussi prescrit, nous n'avons pas remarqué des effets thérapeutiques très-évidents; mais il était bien d'observer l'action du bulbe lui-même et celle des semences données en poudre dans un véhicule inerte. C'est ce que nous avons fait dans deux cas qu'il ne sera peut-être pas inutile de rapporter, I OBS. 63e. S. Brodie, âgé de 49 ans, terrassier, lymphatico-sanguin, atteint de pleurodynie un an avant, éprouve par suite de suppression de transpiration, une douleur très-aiguë partant de l'échancrure sciatique et de l'aine droite, et se propageant le long de la partie externe et postérieure de la cuisse, jusqu'au creux poplité et de là jusqu'au talon. Les articulations scapulo-humérale et cubito-humérale gauches, sont le siége de douleurs aiguës. Entré à la clinique, le 23 septembré 1840, six jours après l'invasion de sa maladie, Brodie se présente avec la peau chaude, le pouls fréquent, de l'anorexie, la langue un peu rouge, l'abdomen indolore, les selles régulières, un peu de toux. Les parties, douloureuses ne so sont point tuméfiées, mais le mouvement y est géné.

Les 24, 25 et 26, sueurs abondantes, éruption sur le tronc et les bras, de petites taches rouges, qui s'élargissent et forment des plaques vivement colorées. Les 27 et 28, l'éruption s'efface, la sueur persiste.

Les 29 et 30, l'épaule est moins douloureuse. A

Du er au 9 octobre, l'affection est à peu près stationnaire.

Le 10, l'éruption reparaît, elle a l'aspect papuleux, l'aine droite est très-doulou

reuse. T

Le 14, l'éruption a disparu, ainsi que la fièvre; jusqu'au 6 novembre, la maladie n'offre aucun changement notable. Les moyens employés ont consisté en des applications de sangsues et de ventouses scarifiées, du marteau de Mayor, quelques doses d'extrait d'aconit, quelques bains sulfureux. oh ony

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Du 7 au 15 novembre, le malade prend la poudre des bulbes de colchique, en commençant par un décigramme en deux pilules, et allant par une augmentation graduelle, jusqu'à un gramme cinquante centigrammes. Pendant l'usage de ce médicament, le malade n'a eu ni nausées, ni douleurs épigastriques, ni selles abondantes; mais on a constaté l'augmentation de la sécrétion urinaire. Les douleurs se sont dissipées durant l'administration de la poudre de colchique.

64o OBS. — Eynac, marin, âgé de 35 ans, fortement constitué, atteint, il y a dix ans, de rhumatisme aux genoux, aux coudes, aux épaules, guéri par les eaux de Baréges, éprouvait depuis un mois et demi, une douleur pongitive au pied droit, au niveau de l'articulation tibio-tarsienne; la progression était empêchée, le pied offrait un peu de gonflement et une légère rougeur; il n'y avait point de fièvre.

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Le malade entre à la clinique le 6 juillet 1841. On applique 12 sangsues sur les parties douloureuses; la sensibilité y est moindre, mais le mouvement est toujours gêné, pénible. On commence l'emploi de la poudre de semences de colchique; la dose est d'abord de 5 centigrammes par jour, on l'élève jusqu'à 35; alors il survient

(1) Archives de médecine, décembre 1836. P 101. Revue médicale, 1834, t. 2, p 267.

Journal général de médecine, 1827, t! 37,

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