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Cette maladie était à peu près dissipée, lorsqu'il se manifesta des douleurs au poignet gauche, aux genoux et aux pieds. On fait diverses applications de sangsues. Le malade n'étant pas soulagé, entre à l'hôpital le 15 novembre 1842; il n'a point de fièvre, les articulations douloureuses sont tuméfiées, sans rougeur ; on donne le baume de copahu jusqu'à 4 grammes par jour. Ce révulsif puissant n'amène aucun soulagement heureux. Le malade prétend même souffrir davantage; du 19 novembre au 7 décembre, il fait usage de l'alcoolature d'aconit: ayant commencé par dix gouttes, les derniers jours il en prenait dix-huit. Le seul moyen qui ait agi concurremment, était une pommade composée avec l'axonge, l'iodure de fer et l'opium. La guérison a été complète, malgré la circonstance défavorable de la saison. 53e OBS. Jean Touchet, âgé de 45 ans, vigneron, d'un tempérament lymphatico-sanguin, d'une constitution peu robuste, déjà atteinty six ans avant, d'un rhumatisme de l'articulation tibio-fémorale gauche, n'ayant jamais eu de syphilis, souffrait depuis quatre mois de douleurs avec gonflement des orteils du pied gauche, de l'articulation tibio-tarsienne, puis des genoux, des poignets et du coude. Il n'y avait point de fièvre, les organes intérieurs ne présentaient aucun indice de lésion. koni ms 3 golqas mini99

Depuis le jour de son entrée à l'hôpital, le 4 décembre 1842 - jusqu'à celui de sa sortie, le 23 janvier 1843, ce malade a constamment fait usage de l'alcoolature d'aconit, de dix à trente gouttes par jour. On a employé en même temps la pommade indiquée dans l'observation précédente, et huit bains rendus sulfureux par l'addition de cent grammes de sulfure de potassium pour chacun d'eux. Le malade a éprouvé, vers la fin de l'emploi de l'alcoolature d'aconit, immédiatement après l'avoir prise, un sentiment de forte chaleur le long du sternum et à l'épigastre; cette sensation était passagère; elle se dissipait peu de temps après l'ingestion du médicament. Du reste, ni vertiges, ni céphalalgie, ni obscurcissement de la vue. 54 OBS. Pierre Viaud, âgé de 33 ans, mariu, arrivant de la Guadeloupe, a. depuis trois mois, des douleurs dans les membres supérieurs et inférieurs ; les 'articulations huméro-cubitale et fémoro-tibiale droites sont principalement affectées. Il y a de la tuméfaction, de l'empâtement, de la roideur, la pression est douloureuse. Ce malade entre à l'hôpital le 15 décembre 1842, est soumis au traitement employé pour le précédent. Après quelques vicissitudes\tenant surtout au refroidissement que le malade éprouva en sortant de son troisième bain, le mieux s'éta-blit de plus eu plus, et la guérison eut lieu le 29 janvier 1843, emazah 149d9 296 Ces faits suffisent pour prouver que l'alcoolature d'aconit peut rendre d'excellents services. C'est surtout dans le rhumatisme chronique qu'on l'emploie avec avantage; il est utile encore dans le rhumatisme aigu, quand la période des émissions sanguines est passée. Ce médicament paraît modifier profondément le système nerveux; c'est sans doute comme sédatif spécial qu'il agit. M. Lombard le 'considère comme spécifique du rhumatisme aigu. Il ne mérite pas ce titre, mais c'est un agent précieux.

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5o Acide cyanhydrique et cyanures.-Les médicaments dans lesquels se trouve de l'acide cyanhydrique ou quelque cyanure, sont encore les modérateurs de l'excitation nerveuse. Ils ont été quelquefois employés dans le rhumatisme, lorsque la sensibilité était vivement exaltée, ou qu'il y avait une disposition convulsive; dans deux cas, on y a eu recours avec succès. Voici l'un des faits: Gibert, âgé de 48 ans, marin, d'un tempérament lymphatico-nerveux, repoussait du rivage un bateau pesamment chargé, lorsque, à la suite de cet effort violent, il entendit tout à coup une sorte de craquement dans la région lombaire. Gette partie devint le siége d'une douleur qui se propageait jusqu'à la cuisse droite. Un mois après, il se présente à la clinique.

55¢ OBS.

Le 19 février 1841, on ne constata que de la douleur dans la région lombaire et

la cuisse droite ; il n'y avait ni rongeur ui tuméfaction. (Cinq ventouses scarifiées sur les lombes.) itsetyy ! རིན་དེའི་རིན་qདཱི་ལྕན༅། ཀཱིsatue

30 Le 20, douleur vive à la partie postérieure de la cuisse. (Trois ventouses p. do.) ** Le 23, fièvre, douleur au genou droit, aux lombes. (Extrait d'aconit, 0,30.—Saignée du bras de 300,00. Vésicatoire aux lombes sur lequel on répand quatre centigrammes de morphine.) alia, be

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ToLe 25, da douleur persiste au genou droit. (Vésicatoire, — Extrait d'aconit, 0,35,) Le 28, douleur plus aiguë autour du genou, point de fièvre. (Quinze sangsues, T Cataplasme émollient.), 1,

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noLe ter mars,da douleur a abandonné le genou et occupe la partie interne de la jambe. (Dix sangsues. → Poudre de Dower, 1,002)

my Le,3, insomnie, un peu de fréquence du pouls, douleurs plus lancinantes la nuit que le jour. (Extrait gommeux d'opium, 0,08.).

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the 4, mème état, insomnie, douleur à la partie interne et inférieure de la cuisse. (Cyanure de potassium, 1,00.- Eau. 30,00. Pour employer en frictions.)

Le surlendemain, le cyanure de potassium est remplacé par le cyanure de zine; celui-ci, employé en frictions, a produit un soulagement manifeste. Le 10 mai, Gibert sort convalescent.

Chez cet individu, il y avait quelque ténacité dans les douleurs; le soulagement a suivi de très près l'emploi des cyanures. Peut-être la maladie tendait-elle alors spontanément vers une heureuse solution. Les cyanures peuvent être employés dès la période d'acuité, soit à l'intérieur, soit à l'extérieur; mais c'est surtout dans le rhumatisme chronique, que l'usage externe de ces médicaments peut être avantageux. On imbibe une compresse dans une solution de cyanure de potassium, et on en entoure les parties souffrantes. C'est un bon sédatif; on l'emploie aussi par la méthode endermique.

VI. Éthers. Les éthers sont encore considérés comme des antispasmodiques efficaces. Il est rare qu'on les emploie intérieurement dans le rhumatisme. Mais on fait un usage assez fréquent de l'éther acétique à l'extérieur, quand le rhumatisme est chronique et sans taméfaction, lorsqu'on suppose que l'affection réside essendiellement dans l'élément nerveux.

16 VII. Huile animale de Dippel. → Alibert a employé dans le rhumatisme chronique, d'après le conseil de Payen, l'huile de Dippel en solution dans de l'eau ; 48 gouttes étaient dissoutes dans 30 grammes de ce liquide; on donnait tous les matins 12 gouttes de cette solution; il en résultait de la fièvre, des vomissements, des › sueurs et une diminution notable des douleurs (1). Malgré ce succès, peu de praticiens, je crois, ont suivi l'exemple d'Alibert.

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--7-VIII. Brôme, Quelques essais ont fait considérer le brôme comme un sédatif des douleurs articulaires. Attendons de nouvelles expériences.

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IX. Camphre. Le camphre dont l'action sédative n'est qu'indirecte, qui stimule quand la dose est élevée, qui provoque la transpiration surtout quand il est associé ~à l'opium, est un médicament assez usité. Nos observations prouvent qu'il peut être utile dans le rhumatisme aigu, après les émissions sanguines. Mais il ne doit être prescrit qu'à petites doses souvent répétées.

Pula été aussi employé à l'extérieur ; c'est en vapeur qu'on l'a administré. De Lormel s'en était servi dans la goutte; Amable Cheze, l'ayant vu utile dans le tétanos, l'avait essayé dans le rhumatisme. M. Dupasquier, de Lyon, a spécialement employé les fumigations de camphre dans le rhumatisme ambulant. Il s'est servi, à cet effet, d'une caisse ou d'une chaise, placée sur un petit fourneau recouvert <d'une plaque métallique ; le malade assis est entouré d'une couverture de laine;

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~119 Bulletin de la Socʊ méd, d'émulation, t. 2, p. 263.

on projette de cinq en cinq minutes, une cuillerée à café de camphre en poudre sur la plaque; on continue pendant trois quarts d'heure ou une heure; on emploie ainsi 15 grammes de camphre par fumigation; on peut en donner 3 ou 4 par jour (1).

Le camphre, dans cette circonstance, agit de deux manières: comme sédatis, c'est-à-dire comme modificateur du système nerveux, d'autant plus actif, qu'il se présente aux organes dans un plus grand état de division, et en second lieu, comme révulsif, comme stimulant cutané, comme sudorifique.

X. Aimant. Dans les rhumatismes chroniques, sans tuméfaction, revêtant une forme névralgique, l'aimant a pu être employé avec succès. Le docteur Bundel, de Londres, a cité un exemple de guérison par ce moyen (2). L'aimant n'est pas purement sédatif; son action est immédiate et stimulante, il excite la peau sur laquelle il est appliqué, et y provoque quelquefois une éruption vésiculeuse, brat 2000)

IV. SUDORIFIQUES.

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Il a paru naturel d'excitér une abondante transpiration chez les malades atteints de rhumatisme, puisque la cause la plus ordinaire de cette affection a été attribuée à une suppression de transpiration. Aussi le vulgaire s'empresse-t-il généralement de donner des infusions aromatiques, des boissons excitantes pour produire des sueurs auxquelles il attache l'idée de la guérison.

Les sudorifiques sont, en effet, de bons moyens lorsqu'ils ne risquent pas d'augmenter l'état phlegmasique. Ce n'est done que lorsque les antiphlogistiques ont suffisamment agi, que les stimulants de la perspiration cutanée peuvent être mis en œuvre. Ils conviennent dans le rhumatisme chronique; les uns ont une action momentanée, les autres ont un effet plus soutenu. Les bois sudorifiques ont été tour à tour employés. Le gaïac est le plus renommé; je dois le mentionner d'une manière spéciale.

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I. Gaiac. — La teinture volatile a été donnée par Dawson à une dose peu forte. (15 grammes); elle produisait des évacuations alvines abondantes. Fowler imita cet exemple dans un cas de lumbago et réussit (3); Johnstone eut un succès analogue dans un cas de rhumatisme du bras droit et de quelques articulations des membres inférieurs (4); le docteur Seymour, médecin de l'hôpital St.-George, a préféré la résine, qui agit comme purgatif, comme sudorifique ou diurétique (5). › 19 L'extrait de gaiac est plus généralement usité; on l'associe soit à l'aconit, soit à l'opium. On l'a aussi uni au camphre et à l'extrait de jusquiame (6) ; c'est dans les rhumatismes chroniques et apyrétiques qu'il peut être convenable. Make 1. II. Poudre de Dower. La poudre de Dower présente un mélange sudorifique et calmant. Ce médicament est, entre les mains de quelques praticiens, d'un emploi fréquent et parfois utile; nous en avons vu quelques bons effets chez deux ou trois malades.

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⠀ III. Ammoniaque, carbonate et hydrochlorate d'ammoniaque, etc. lants diffusibles procurent une transpiration abondante; ils ont été employés dans le rhumatisme chronique.

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IV. Calorique.--Quel que soit le milieu par lequel le calorique est transmis, quelle

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que soit la surface organisée sur laquelle il agit, il stimule, active les sécrétions, et surtout la perspiration cutanée. Les infusions aromatiques données chaudes, l'eau pure, mais chaude et prise en abondance, sont de bons sudorifiques. On en a usé dans le rhumatisme et dans la goutte.

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On a fait agir directement le calorique sur la peau; on s'est servi des rayons solaires, d'un fer chaud promené sur un morceau d'étoffe recouvrant la partie souffrante; on a employé des bains de marc de raisin, ou mieux de raisin en fomentation. Ils ne sont pas seulement chauds, ils sont aussi légèrement alcooliques.

On a souvent employé des bains de sable; dans bien des occasions ils ont été utiles. Non-seulement la partie affectée, mais même une grande étendue du corps est enfoncée dans le sable, pendant que le soleil échauffe la surface de la terre. Le corps reçoit, par l'intermédiaire du sable, d'une manière égale et soutenue, Pimpression d'une chaleur élevée. Une transpiration extrêmement abondante a lieu, on renouvelle plusieurs fois les couches de sable qui touchent la peau, afin de remplacer celles qui sont humides, par celles qui sont sèches. On obtient de la sorte une révulsion très-puissante.

Les baius chauds excitent une transpiration abondante; ils stimulent l'organisme.

Les bains de vapeur ont été vantés dans le traitement du rhumatisme chronique; ils jouissent d'une efficacité incontestable. Les bains russes, l'hydrosudopathie, peuvent être utiles dans le rhumatisme chronique, en produisant des perturbations profondes et provoquant des réactions salutaires.

VSoufre➡ Sulfures. →→ Le soufre employé intérieurement, est un excitant modéré, persistant et augmente la transpiration. Van Swieten et Barthez l'ont vanté dans le rhumatisme.

Les sulfures dissous dans l'eau imitent les eaux sulfureuses naturelles et sont des moyens extrêmement avantageux. Je dois m'arrêter un moment à l'examen de cet ordre de moyens.

Depuis longtemps les médecins ont eu recours aux sulfures; Mertens, en parlant du traitement de la fièvre arthritique, c'est-à-dire, rhumatismale, de l'hiver de 1782 à 1783, dit qu'après avoir vainement employé la saignée, les opiacés, le camphre, les antimoniaux, etc., il fit mêler sur le feu une partie de soufre et deux parties de chaux, et fondre une livre de ce mélange dans l'eau d'un bain; il guérit par ce moyen ses malades (1). Depuis, on a souvent employé le sulfure de potassium et mieux celui de sodium. !

-

Nos malades ont usé des bains sulfureux très-fréquemment et généralement avec 'avantage; rarement, il est vrai, ils ont été administrés seuls. Voici cependant un exemple de rhumatisme dans lequel ils ont constitué la base du traitement. On 56e OBS. - Jean Naudel, âgé de 34 ans, charretier, avait depuis quelques mois des douleurs dans les genoux et les pieds. La marche était presque impossible; il y avait de la tuméfaction dans les articulations. On fit faire une saignée, on 'emeploya quelques autres moyens. Un mois après, le 24 octobre 1842, ce malade entra à l'hôpital. Il n'avait point de fièvre, il existait alors une légère inflammation de la conjonctive droite. Cinq sangsues furent appliquées sur l'apophyse mastoïde et dissipèrent cette ophthalmie; alors furent commencés les bains avec le sulfure de potassium à la dose de 100 grammes par bain. Au deuxième, le rhumatisme avait cessé et le malade se disposait à sortir. On donna en même temps la tisane de squine et on fit des frictions sur les parties douloureuses et engorgées, avec des pommades iodurées.

(1) Observationes medicæ de febribus putridis, etc., t. 2, p. 50.

Les bains sulfureux naturels jouissent d'une efficacité incontestable dans la cure du rhumatisme chronique, avec ou sans tuméfaction des parties affectées. Déjà j'ar mentionné un fait de guérison, c'est celui de l'observation vingtième. Je peux en rapporter plusieurs autres, les voici. Je supprime beaucoup de détails pour ne pas allonger inutilement ce mémoire.' af D.16 ste 2996 Tusup I 62 92

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57e OBS. Pierre Jousson, âgé de 40 ans, meunier, est d'un tempérament sanguin. A 22 ans, il contracta la gale et se servit de divers moyens pour s'en débarrasser. Les bains aromatiques, les frictions sulfureuses, l'onguent citrin, furent employés tour à tour et ne produisirent aucun résultat. Le mal persista pendant deux ans et ne céda qu'à l'emploi de ceintures de lisière apprêtées avec du mercureb Asla suite de cette guérison, le malade vit, pendant cinq années consécutives, son corps se couvrir de nombreux furoncles. En 1837, il contracta la syphilis avec blennorrhagie et ulcération du gland, ce qui ne l'empêcha pas de faire un usage abusif du vin et de liqueurs spiritueuses. Il entra à l'hôpital des vénériens; il y séjourna plusieurs mois, pendant lesquels on lui administra une grande quantité de préparations mercurielles. Dans cet intervalle, il eut une ophthalmie qui fut dissipée assez facilement. Il voulut sortir, l'affection syphilitique persistait encore, il y avait un écoulement blennorrhagique, et des ulcérations autour du gland. Ce dernier symptome disparut peu de temps après.

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Le 26 janvier 1839, Jousson s'étant exposé à un froid très-vif pendant que son corps était couvert de sueur, sentit des frissons suivis de chaleur, des douleurs vagues dans tous les membres, notamment dans les articulations.bio, a evoURLI Le 30 janvier 1839, il se présente à la clinique ! sentiment de brisure, céphalalgie, douleur à la partie inférieure gauche du thorax, augmentant lors d'une forte inspiration, point de matité, organes digestifs dans l'état normal į pouls plein, fréquent (saignée du bras, 300.—2 ventouses scarifiées au-dessous du sein gauche), le pouls fréquent, 115 pulsations, face animée (saignée du bras), ikan linaong

31. Même plénitude et même fréquence du pouls. La douleur a disparu au côté gauche, s'est portée sous la clavicule droite; gêne de la respiration, battements du cœur, forts et étendus ; douleur au genou droit. (Saiguée du bras.- 10 sangsues ́au genou )

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12 février: Pouls fort développé, douleurs vives dans le genou gauche, (dans des épaules et les lombes; battements du cœur, forts et précipités. (8 sangsues au genou. Potion avec tartre stibié, 0,30, de 2 en 2 heures. Tisane de salseporeille gommée.)

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19 3. Quelques vomissements, plusieurs selles, soif vive, langue pâteusey bouche amêre, douleur du genou moindre, mieux général. (Tartre stibié 0,30 ; extrait thebaïque 0,06. Eau 180o.) **4. Nausées, point de selles, sommeil calme, langue jaunâtre, abdomen indolent, 'peau naturelle, pouls peu fréquent. (Même prescription).

5. Douleur à l'hypochondre gauche, augmentant lors de l'inspiration; pouls dur et plein, bouche pâteuse, peau naturelle. (Vésicaloire sur le point douloureux. Même potion.)"

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8. Pouls mou à 80, selles nombreuses; douleur au genou droit, respiration normale. (Vésicatoire au genou, pilules avec extrait thébaïque 0,06 et thridace 0,50.) 9! Peau chaude, pouls dur, peu fréquent; bouche pâteuse, abdomen indolent, peu de douleur au genou. (Potion avec véhicule 180°, tartre stîbié 0,30, sirop diacode 40,0.)

10. Même état. (Même prescription'.)' muka nễ

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11. Il y a un mieux sensible, douleurs vagues dans les membres. (Extrait thebaïque 0,06. Liniment opiacé) upindo al & insЯ

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14. Douleur dans les articulations des pieds. (Extrait thébafque 0,40gp vzízzárt

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