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difficile de recourir durant le fort de la maladie, car il exige la présence assidue et les soins continus d'un homme de l'art, très-intelligent, qui n'épargne aucune peine pour parvenir à son but.

SECTION VIII. — Médication locale. Nous passons en revue dans cette section tous les moyens qui furent mis en usage, ou dont on a proposé l'application pendant ou après la mise en pratique des médications générales dont il a été question précédemment.

ART. 1er. ·Des saignées locales. - On a généralement insisté davantage sur l'emploi des saignées locales que sur celui des saignées générales dans la maladie; ce moyen doit être aussi restreint dans ses applications et ne sera mis avantageusement à exécution que dans certaines circonstances qu'il est indispensable de bien préciser. Lorsque la maladie procédera d'une cause externe sans prédisposition, c'est alors surtout que les déplétions sanguines locales devront être largement établies, et nous croyons qu'après une saignée du bras, quand on aura l'intention de mettre en usage le précepte des saignées coup sur coup indiqué par Sabatier, on aura recours avec succès à des ventouses scarifiées, en nombre proportionné à la quantité de sang que l'on veut extraire, car, au moyen d'un grand nombre de globes, selon la méthode usitée en Allemagne, on pourra obtenir une certaine masse de sang avec autant de promptitude que par la section de la veine et l'on aura en outre l'avantage d'agir plus directement sur les parties qui souffrent; c'est aussi l'un des motifs de la préférence à accorder dans ce cas aux scarifications, et Larrey était de cet avis (1), sur les sangsues, qui trouvent plus à propos leur application quand on veut mettre plus de lenteur dans la soustraction du sang. Les scarifications présentent encore un autre avantage que nous devons mentionner, elles permettent aux frictions de la pommade d'Autenrieth d'agir plus vigoureusement et avec certitude lorsqu'il est jugé nécessaire d'opérer une révulsion après avoir maîtrisé l'état aigu.

On mettra plus de ménagement dans les émissions sanguines locales lorsque la maladie, quoique produite par une violence extérieure, reconnait pour cause première des dispositions cachectiques constitutionnelles, et bon nombre d'affections survenues spontanément et dues tout à fait à la constitution du sujet, n'exigeront nullement l'usage de ce moyen.

- Emplâtres et liniments.

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ART. 11. On passe en quelque sorte sans transition des saignées à la révulsion dès que l'état aigu a subi une diminution notable ; on a fait usage, après la saignée, de lotions et de frictions avec des substances variées, ou de leur application au moyen d'emplâtres. L'emplâtre de gomme ammoniaque employé par Ledran est inefficace, selon Brodie, quand les cartilages sont ulcérés; Lieutaud fait l'éloge des emplâtres de ciguë, de Vigo cum mercurio, de diachylon, de savon, etc. Duverney se servait de l'emplâtre de Crollius cet emplâtre composé d'une foule de substances, est régardé comme astringent, tonique, vulnéraire, résolutif. Les fomentations résolutives, astringentes, les frictions, sont indiquées par Sue; les fomentations avec des décoctions de plantes aromatiques par Desault; Lassus vante les frictions aromatiques sèches et la saumure de harengs (muria halenum), qui, jointe au vinaigre, fait la base du remède de Purman (2); Duverney employait les fomentations avec le vin aromatique; Richerand loue, dans certains cas, la teinture de cantharides, le liniment volatil. Samuel Cooper se servait de lotions d'acétate de plomb quand il n'adoptait pas les fomentations de plantes aromatiques. Brodie a retiré de bons résultats, dans la synovite, d'un liniment rubéfiant (olei olivæ 3js, acidi sulphurici Zs. F. L.) ou du liniment stibié (blanc de

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baleine 3j, tartre émétique 3j); selon lui les emplâtres de gomme ammoniaque et autres de même nature sont peu efficaces tant qu'il reste de l'inflammation.

De tous ces moyens il en est fort peu que la pratique ait conservés aujourd'hui; à part le liniment volatil, le tartre stibié et les fomentations aromatiques, le reste est presque entièrement tombé dans l'oubli. Les fomentations de plantes aromatiques recevront une application avantageuse au début de l'affection quand la maladie se montrera bien légère et le résultat d'une prédisposition cachectique; elles seront également efficaces lorque la maladie arrivée à son déclin, l'indication sera de fortifier les parties qui ont souffert. Le liniment volatil, ou celui d'acide sulfurique conviendront comme moyens révulsifs légers, soit qu'on y ait recours de prime abord dans le cas d'affection peu prononcée, soit qu'on les utilise seulement après la chute de l'état aigu dans les maladies plus intenses. Le tartre émétique appliqué à la peau soit en pommade, en poudre à la surface d'un emplâtre, en lotions ou par inoculation, est un moyen révulsif, dont nous avons retiré trop d'avantages pour ne point le recommander d'une manière spéciale; le sujet de notre treizième observation offre un exemple remarquable de guérison par l'effet de l'émétique à la peau : chez lui la maladie due à la répercussion d'un exanthème céda complétement aux pustules qui se développèrent par des frictions de pommade stibiée ( axonge Zi, tartre émétique 3j), sur les traces de huit ventouses scarifiées. Ce moyen assez douloureux doit son efficacité, croyons-nous, à l'analogie qu'il présente avec certains modes de révulsion naturelle comme l'abcès métastatique, les furoncles, l'anthrax, etc.

ART. III. — Du vésicatoire, du moxa, du cautère et du sélon. — Les avantages de la révulsion, au moyen du vésicatoire, ont été surtout sanctionnés par les effets que Boyer en obtint (1). « Parmi les moyens, dit-il, d'opérer à l'extérieur une puissante ⚫ dérivation du principe morbifique fixé sur l'articulation, le vésicatoire est celui » dont nous avons constamment obtenu les meilleurs résultats et auquel, par con»séquent, nous avons donné la préférence. » Si l'on s'était appliqué à suivre les préceptes de ce grand chirurgien, qui ne mettait le vésicatoire en usage qu'avant l'arrivée de la suppuration et lorsqu'il n'existait aucuns phénomènes d'acuité ou après les avoir combattus, quand la maladie avait débuté avec force; ce moyen jouirait encore de toute la vogue qu'il possédait à cette époque. Quelquefois quatre ou cinq vésicatoires ont suffi, mais souvent, dix, douze et plus ont été nécessaires pour obtenir une révulsion complète ; dès que l'effet vésicant était produit, la surface dénudée d'épiderme était pansée au cérat et un vésicatoire nouveau était placé cinq à six jours après dans son voisinage. Comme il l'indique, la guérison n'est pas complète encore, un repos prolongé de l'articulation est nécessaire pour que la susceptibilité des parties s'efface et qu'elles ne puissent plus être le point de fluxion des humeurs qui résultent de l'état cachectique, et pendant ce temps le traitement interne doit modifier les dispositions en présence desquelles une récidive serait toujours possible. Il est arrivé que les premiers vésicatoires produisaient d'excellents résultats, calmaient la douleur du mal, tandis qu'un quatrième ou cinquième emplâtre vésicant déterminait un retour de l'irritation avec exacerbation des phénomènes morbides de la maladie. Boyer, qui a constaté ce fait, dit qu'on doit alors renoncer à ce moyen et combattre l'irritation par des topiques émollients, l'application de sangsues, les bains, etc. (2). Humbert rapporte un exemple dans lequel la même augmentation de la douleur se fit remarquer après l'application du cinquième vésicatoire (3). Brodie assure n'avoir point retiré d'avantages marqués de l'em

(1) Boyer; Maladies chirurgicales, t. II, p. 428.

(2) Boyer; Traité des maladies chirurgicales, o. c. p. 428. (3) Humbert et Jacquier; ouvrage cité, p. 207.

ploi de la vésication, quand la cause du mal pouvait être rapportée à une diathèse scrofuleuse ; il reconnaît cependant avoir vu résulter de bons effets dans les cas d'ulcération cartilagineuse du vésicatoire à demeure, entretenu avec l'onguent de sabine, mode qu'il croit plus efficace, chez les enfants surtout (1). Roux n'accorde d'importance au vésicatoire que chez les enfants, son action ne pouvant guère s'exercer, selon lui, sur l'articulation, chez les adultes, à cause de l'épaisseur des chairs (2); la remarque de Brodie, que le vésicatoire, appliqué à la cuisse et au genou, diminue aussi bien la douleur, que s'il était plus rapproché du siége du mal, démontre que l'opinion du chirurgien français n'est pas tout à fait fondée (3). Nous n'avons pas pu nous assurer par nous-même des effets du vésicatoire; dans une affection où nous désirions obtenir une révulsion locale (XIIIe obs.), cas dont nous parlions naguère, nous avons fait usage d'une pommade émétisée sur les traces de scarifications, et quoique alors nous avions affaire à une affection résultant de la répercussion d'un exanthème, ce qui serait propre à justifier le succès du remède, nous le croyons appelé à donner de beaux résultats dans cette maladie, lorsqu'il sera employé judicieusement; il y a déjà assez longtemps que nous accordons à la révulsion par le tartre stibié une préférence marquée sur les autres agents révulsifs (4), surtout depuis que le docteur Debourge a imaginé de s'en servir par inoculation (5); nous devons ici rendre compte de quelques-uns des motifs qui nous y ont conduit: Parmi les divers modes de révulsion, les uns portent leur action à la surface du derme seulement, d'autres l'entament, enfin d'autres agissent plus particulièrement sur la couche graisseuse sous-cutanée. Le vésicatoire semble n'avoir d'action un peu forte sur l'irritation voisine, que pendant les premiers jours de son application, lors de la formation de la vésicule; laissé en permanence, son effet devient moins marqué, soit sur la douleur, soit sur la condition morbide de l'organe souffrant; on a voulu expliquer cette particularité par l'habitude. Nous pensons que cette interprétation n'est point fondée et qu'elle provient de ce que l'action du vésicatoire permanent n'est pas la même pendant la vésication et les jours suivants; d'abord c'est une sérosité abondante qui est produite, une forte auréole inflammatoire entoure l'emplâtre, et plus tard ce n'est plus qu'un peu de matière purulente, sans action apparente, et ce qui prouve notre assertion, c'est l'action bien plus forte du vésicatoire volant, et celle-là peut se prolonger; nous ne dénions point toute espèce d'influence à l'habitude, car, selon nous, la cause du résultat annoncé par Boyer et Humbert, que le vésicatoire, après avoir produit plusieurs fois de bons effets, finit quelquefois par occasionner un surcroît d'irritation locale, pourrait bien procéder de cette source, et dans cette hypothèse, il serait avantageux de mettre en usage des emplâtres vésicatoires dont la surface augmenterait en étendue à mesure qu'on s'éloignerait du jour où l'on employa le premier, comme on a l'habitude pour la dose de certains médicaments. Quoi qu'il en soit à cet égard, le vésicatoire ne détermine guère, pas plus que le moxa et les divers cautères, un fort afflux d'humeurs, le travail produit dans les premiers moments de leur présence, est encore le plus fort, mais le travail d'élimination de l'eschare, s'il s'agit du moxa ou du cautère et celui de cicatrisation, quand on n'entretient pas la plaie ouverte, se font lentement et sans nécessiter cet engorgement à base large et profonde que déter

(1) Brodie; Maladies des articulations, p. 126.
(2) Roux; Dictionnaire de médecine, cité.
(3) Brodie; Maladies des articulations, p. 131.

(4) Du tartre stibié comme moyen révulsif externe. Journal de médecine de la Société des sciences médicales et naturelles de Bruxelles, 1844, p. 15 et 257.

(5) Debourge (de Rollot); Sur l'inoculation stibiée, ibid., p. 14 et 254.

mine le tartre stibié. Celui-ci, quand on l'utilise par certains procédés, peut agir fortement et donner un résultat qui prend l'aspect d'un véritable anthrax, soit en pommade sur les traces des scarifications, en compresses mouillées d'une solution alcoolique de tartre stibié (1), par inoculation au moyen d'une solution huileuse concentrée de tartre émétique, comme le fait le docteur Debourge, on obtient, en humectant chaque jour d'une solution aqueuse ou huileuse du sel, des pustules aussi fortes qu'on le désire, dont l'engorgement, à la base, dénote la forte action sur l'économie; or, comme l'effet produit par le composé d'antimoine et de potasse peut se maintenir de cette manière, à peu près au mème degré, pendant le temps voulu, par la même pustule ou des pustules successives, nul doute qu'on ne parvienne souvent, par ce moyen, à obtenir d'heureux résultats, lorsque même les vésicatoires et les moxas auront été mis en usage infructueusement (2).

Pour nous résumer sur l'emploi du vésicatoire, nous dirons : que le vésicatoire volant est préférable dans la maladie qui reconnaît une cause rhumatismale ou une violence pour origine, et le vésicatoire à demeure dans celle qui procède d'une disposition cachectique ; que l'on aura recours, dès le début, au vésicatoire, s'il n'est survenu aucuns phénomènes aigus, tandis qu'on la combattra d'abord, dans le cas contraire, avant d'utiliser ce moyen; que l'on ne pourra compter sur l'influence du vésicatoire sur la lésion pathologique, qu'autant que la suppuration ne sera pas établie; enfin, qu'un petit vésicatoire, à toutes les époques de l'affection, aura souvent une influence favorable sur l'intensité de la douleur.

Le moxa et le cautère peuvent être placés à peu près sur la même ligne, quant à leur manière d'agir et à leur efficacité. Ces moyens semblent avoir été connus dès la plus haute antiquité; ils ont été usités surtout dans le traitement des maladies des articulations. Hippocrate dit que les Scythes et les nomades en faisaient ùn grand usage.

Le moxa était produit par des moyens extrêmement variés : en Egypte, au dire de Prosper Alpin (3), ou les maladies articulaires sont communes à cause des débordements du Nil, on employait diverses matières, et surtout le coton, pour produire l'ustion, en défendant la circonférence de l'eschare avec une pièce de fer percée en rond. Les ingrédients dont les anciens ont fait usage dans ce but, ont été énumérés par Pouteau (4); l'huile, l'eau bouillante, le lin cru, les crottes de chèvre, les noyaux d'olive, la racine d'asphodèle, divers métaux, l'or, l'argent, le cuivre et le fer, ont été prônés tour à tour et on leur accordait des vertus particulières. En Laponie, dit Linneus (5), on emploie le bois de bouleau enflammé, et la cautérisation opérée de cette manière, s'applique à toutes les maladies. Au rapport de Kempfer, on se sert de l'armoise battue, au Japon. Tout le monde sait aussi que les anciens cautérisaient les plaies d'armes à feu, avec de l'huile bouillante.

L'application du feu dans les maladies de l'homme, a eu ses partisans fanatiques, comme elle a compté des détracteurs : et, à plusieurs époques de la chirurgie, la question d'opportunité et d'efficacité du cautère actuel, a été tirée de l'oubli pour y retomber bientôt après.

(1) Journal des sciences médicales et naturelles (6e volume). Histoire de deux angines de poitrine guériès par le tartre stibié, appliqué en solution sur le thorax.

(2) Journal de Médecine de la Société des sciences médicales et naturelles de Bruxelles, 1844, p. 14 et 254.

(3) Prosper. Alpinus; De medicina Ægyptiorum, libr. IV. Venet. 1592.

(4) Pouteau; Mélanges de chirurgie, Lyon 1760. Mémoire sur les avantages du cautère actuel, appliqué sur les parties attaquées de douleurs rhumatismales fixes et invétérées, etc. (5) Linnæus; Materia medica.

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Parmi les anciens, Hippocrate, Marc-Aurèle Séverin (1), Celse (2); Pouteau, etc., à une époque plus rapprochée de nous, ont employé le moxa ou le cautère avec succès; tandis que Fabrice d'Aquapendente, Paré, Dionis (3), Glandorp et Sharp (4), n'en ont fait mention que pour blâmer l'usage du cautère actuel, en accordant une préférence exclusive au cautère potentiel; après avoir décrit six formes de cautère actuel, Dionis dit, en s'adressant à ses élèves : « Vous pouvez, par ceux-cy, » juger de tous les autres qui ne diffèrent qu'en figure, et qui ne sont pas moins » cruels je ne voy plus aucun chirurgien qui les mette en usage, et si je les ay fait graver ici, c'est plutôt pour vous en donner de l'horreur, que pour vous ⚫ conseiller de vous en servir. » En 1753, l'Académie royale de chirurgie fit, du cautere actuel, l'objet d'une question de concours : Le feu ou cautère actuel n'a-t-il pas été trop employé par les anciens et trop négligé par les modernes ? En quel cas ce moyen doit-il être préféré aux autres pour la cure des maladies chirurgicales, et quelles sont les raisons de préférence ? La question posée de cette manière, n'était pas propre à rendre au cautère actuel, la vogue qu'il avait perdue; il eût fallu des faits nombreux pour la résoudre convenablement, et les auteurs des mémoires couronnés n'en apportaient guère à l'appui de leurs opinions. Depuis lors, divers chirurgiens ont cherché, à différentes époques, à rendre à ce moyen l'application fréquente qu'on en faisait autrefois; mais la masse des praticiens, soit par la répugnance des malades à permettre son usage, soit qu'elle reculât elle-même devant l'emploi d'un procédé plus cruel en apparence qu'en réalité, est toujours restée indifférente à leurs efforts.

Parmi les praticiens qui ont fait usage du cautère actuel dans les maladies de la hanche, nous devons surtout distinguer Sue, Rust (5), Larrey, Albers, Roux, etc. Hippocrate, en posant le précepte de l'employer dans cette maladie, a beaucoup contribué à la vogue qu'il a obtenu dans différents temps. Quibus ischiadico » dolore diù vexatis, femoris caput excidit suo sinu, reciditque, üs mucosœ pituitœ » copia ibi collecta est : atque inde crus contabescit et claudicant nisi urantur (6). » Albucasis (7) et Avicenne (8) l'ont indiqué formellement aussi. Sue (9) regarde le cautère actuel comme jouissant d'une bien plus grande efficacité que le potentiel. « Nous croyons, dit-il, que l'application du caustique dans trois ou quatre endroits, » ne remplirait peut-être pas aussi bien l'indication ; quoique en apparence moins » cruel, il n'excite pas moins de douleur. » Le professeur Rust est l'un des chirurgiens modernes qui semble avoir le plus compté sur les effets du cautère actuel; il l'employait dans la deuxième période; il insiste particulièrement sur son usage dans la troisième, lorsqu'il n'y a plus de cure radicale possible. Il se sert d'un fer dont l'extrémité cautérisante a trois pouces de longueur et neuf lignes d'épaisseur; il fait rougir à blanc autant de cautères qu'il se propose de faire de sillons, et il en trace de trois à cinq suivant l'âge des sujets; il fait les raies convergentes

(1) M. A. Severin ; Traité de pyrotechnie chirurgicale.

(2) Ultimum est et in veteribus quoque morbis efficacissimum, tribus aut quatuor locis supra coxam, candentibus ferramentis exulcerare; omnes autem hujus modi dolores ubi inveteraverunt vix citrà ustionem saniuntur.

(3) Dionis; Cours d'opérations de chirurgie. Bruxelles, 1708, p. 580.

(4) Sharp; Recherches critiques sur l'état présent de la chirurgie. Par. 1751.

(5) J. N. Rust; Arthrokakologie, oder über die verrenkungen durch innere Bedingung, etc. (6) Doctrina Hippocratis; Autore Rodolpho Magistro, etc. Parisiis, 1613; De Arthrit. Aphor. VII, 59, 60, p. 172.

(7) Albucasis; De cauterizatione dislocationis anchæ. lib. I, cap. XLI.
(8) Avicenne; De dislocatione anchæ, Venise, 1608, liv. 2, fen, v. tract. I,
(9) Sue; Observations et réflexions sur quelques maladies des os, etc., p. 342,

cap. XXIV.

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