Opuscules de M. F***.Chez Arkster & Merkus, 1753 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi Anglois auffi Auteurs avoit Bayeux beaux efprits Boifpréaux c'eft C'eſt Caffio Cardinal Fleury ceffe chofe cœur compofé critique DESDEMONA difcours Ecrivains efprit encens eſt étoient étoit faifant fang fans doute fçais fçait fecond felon femble fens fent fentimens feroit feul fiecle foient foit fon efprit font Fontaine fous fouvent François Françoiſe ftile fublime fuccès fuis fuivant fujet génie gloire goût graces hazard hiftorien illuftre j'ai Jago jeuneffe Journal des Sçavans jufqu'à jufte l'Abbé Bignon l'Abbé Desfontaines l'Académie l'Auteur l'efprit laiffe Lettres loix Louis lumieres Maupertuis Meffieurs ment mérite Moncrif Monfieur mort Mufe n'eft n'étoit Obfervations Othello ouvrages paffer Parnaffe penfées Pere de Neuville perfonne Pétrone Pindare plaifir plufieurs Poëfie Poëme Poëte POPE pouvoit préfent prefque raifon refpect refte réuffi ridicule Rienzi Rouffeau s'eft Shakespeare Silphe talens teffe tems teurs tion Twickenham yeux دو دو رو وو
Fréquemment cités
Page 304 - Papillon du Parnasse , et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; . Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet: A beaucoup de plaisir je mêle un peu de gloire.
Page 359 - Ode , où il se met au-dessous de lui. C'est là qu'il le compare à un torrent impétueux, qui, gonflé par les pluies , franchit ses bords, et précipite avec fureur ses eaux immenses et profondes.
Page 360 - C'eft là qu'il le compare à un torrent impétueux , qui , gonflé par les pluyes , franchie les bords, & précipite avec fureur fes eaux immenfes & profondes : tandis que pour lui , il fe regarde comme une Abeille matinale, qui avec beaucoup de peine , cueille le thim autour des bois & des humides rivages de Tibur. Il fe rendoiten partie juftice, &en général il n'a pas cette pompe & cette magnificence qui diftingue le Poëte Grec.
Page 359 - On ne peut nier qu'il n'égale, qu'il ne furpaffe même ce dernier , par la volupté de fon pinceau , par cette ingénieufe naïveté , par ces traits fins & délicats, & par cette molle facilité que l'amour infpire. Mais il fe reconnoît lui-même fort inférieur au premier. On peut tiire néanmoins qu'il marche à côté de Pindare , dans cette même Ode où il fe met au-deflous dé lui.
Page 127 - A sa mère , étant déjà grande , La pauvre Alix , A deux genoux un jour demande Son Alexis : Maman , il faut , par complaisance , Nous marier.
Page 127 - La mère a dit : Alexis a pris une femme , Sans contredit : Et puis , lui montrant une lettre, Lui dit : Voyez , II vous écrit ; c'est pour permettre Que l'oubliez.
Page 391 - Tels sont les meubles précieux Que tu fais venir de la Chine, Pour en décorer ces beaux lieux. Qui suit la nature à la piste Ne sera jamais qu'un copiste, Qu'un malheureux imitateur. Le Chinois seul est créateur.
Page 365 - Malherbe. Quel feu ! quel génie ! quels éclairs d'imagination ! quelle rapidité de pinceau ! quelle abondance de traits frappans ! quelle foule de brillantes comparaisons ! quelle richesse de rimes ! quelle heureuse versification ! mais surtout quelle expression inimitable!
Page 360 - ... grec. Pindare frappe l'imagination de ce qu'il ya de grand ; Horace de ce qu'il ya de beau. Pindare eft incomparable, lorfqu'il célèbre les Dieux , les Rois & les Vainqueurs couverts d'une noble...
Page 298 - Verfailles, le vit rêvant fous un arbre du Cours : le foir en revenant , elle le trouva dans le même endroit & dans la même attitude , quoiqu'il fit aflez froid , & qu'il eût plu toute la journée.