Bibliothèque de campagne, ou amusemens de l'esprit et du cœur, Volume 1Jean Neaulme, 1738 |
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affez aifé aimé ainfi alloit auffi auroit avoient avoit Belinde c'eft caufe Cécile ceffe charmante chofes Chriftierne Chriftine Colombine Comte d'Amboife Comte de las Comte de Sancerre Comteffe croyoit d'Amboiſe Danemarc deffein deftinée déja devoit difoit dit-il Dorothée Ducheffe efprit époufer Eric étoient étoit eût faifoit fans fçais fçavoir fecret femme fentimens fentit feroit fervir feule fille foeur foin foit fon amour fon cœur fon Pere fonger fouffrir foupçons fouvent fuis fujet furpriſe fût Gnome Guftave Guſtave Inés joye l'amour l'efprit laiffa long-tems Madame de Roye Madame de Tournon Mademoiſelle de Roye Mademoiſelle de Sanfac mariage Marquis de Lerme Monfieur d'Amboife n'avoit n'eft n'étoit paffé paffion parler penfa perfonne plaifir plufieurs Pologne pouvoit Prince Princeffe de Sudermanie Radivil raifon réfolution refte Reine Ribergue Sancerre Sibille Sigibrite Sigifmond Stenon Suede teffe tems tendreffe Toberne Torres toûjours Vafa venoit vifage vouloit voyoit vûë yeux
Populaire passages
Pagina 394 - D'un vin qui doit à Rheims , comme moi fa naiflance, Bouteille , à mon fecours , j'entreprends ta défenfe. Pour ton propre intérêt, viens me favorifer. Eft-ce un fonge ? ô merveille! une douce manie Chez moi, dans ce moment, au gré de ta liqueur, Répand de veine en veine uue noble vigueur, Et forme de ces vers la nombreufe harmonie.
Pagina 172 - Cette beauté éblouif» fante fut dans cet inftant une beauté touchan» te ; elle trouva le moment heureux , le foible » de ce grand homme , & une entrée facile dans » un cœur rebelle qui ne lui avoit que trop ré
Pagina 395 - II est tendre, il est net, délicat et léger. Il s'ouvre dans les reins une facile route, II n'y fait point germer de sable douloureux, Et n'y prépare pas, séducteur dangereux, Par l'aurait du plaisir, le tourment de la goutte.
Pagina 235 - ... ne se lassaient pas de se jurer un éternel amour; il ne dit rien, mais il toucha l'amant d'une baguette qui le rendit d'une figure semblable à la sienne; et ayant fait plusieurs tours avec lui, Marna ne le distingua plus de son époux. Elle se vit deux maris au lieu d'un, et ne sut jamais à qui adresser ses plaintes, de peur de prendre l'objet de sa haine pour l'objet de son amour; mais peut-être qu'elle n'y perdit guère...
Pagina 203 - ... dans fa langueur ; & pour des maux qu'elle attend , elle s'enfonce nonchalamment dans le duvet d'un lit magnifique : c'eft ainfi que nos Belles ont l'art de feindre, & de fe parer avec art d'une negligence qui réleve leurs agrémens.
Pagina 196 - ... cloué avec des épingles., il fera jette dans une eau immonde, il demeurera plufieurs années en fentinelle au trou d'une aiguille ; de la gomme & de la pommade lui colleront les aîles.
Pagina 229 - Voilà ce que j'avais de cruel à vous dire; mais à la manière stupide dont vous me regardez, je juge que je vous ai fait trop d'honneur lorsque j'ai craint de vous offenser : c'est ce qui me fait désespérer du sujet de mes propositions ; cependant je hasarde de vous les faire. Voulez-vous avoir de l'esprit? — Oui, lui répondit Marna de l'air dont elle aurait dit : non.
Pagina 327 - ... pour lui. Malgré les maux qu'elle lui caufoit, il l'eftimoit davantage , & il ne l'aimoit pas moins : au contraire, l'admiration & la pitié fe joignant à fes autres fentimens , rendoient fa pallion plus forte , mais en même tems plus capable de raifon.
Pagina 394 - Les yeux les plus perçans l'en diftinguent a peine. Qu'il eft doux de fentir l'ambre de fon haleine > Et de prévoir le goût, par l'odeur annoncé ! D'abord D'abord à petits bonds une moufle argentine Etincele...
Pagina 189 - Ne crois pas que lorfque les Femmes meurent , leurs goûts meurent avec elles : elles les confervent toujours. Si elles ne jouent plus, elles...