Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle1853 |
Vanuit het boek
Resultaten 1-5 van 47
Pagina 26
... FILLE . Ta douleur , Du Perrier , sera donc éternelle ? Et les tristes discours Que te met en l'esprit l'amitié paternelle L'augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas , Est - ce quelque ...
... FILLE . Ta douleur , Du Perrier , sera donc éternelle ? Et les tristes discours Que te met en l'esprit l'amitié paternelle L'augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas , Est - ce quelque ...
Pagina 89
... fille Que pour l'amour du bien qu'on voit dans ma famille . PHILAMINTE . Vraiment à votre bien on songe bien ici ! Et c'est là , pour un sage , un fort digne souci ! CHRYSALE . Enfin pour son époux j'ai fait choix de Clitandre ...
... fille Que pour l'amour du bien qu'on voit dans ma famille . PHILAMINTE . Vraiment à votre bien on songe bien ici ! Et c'est là , pour un sage , un fort digne souci ! CHRYSALE . Enfin pour son époux j'ai fait choix de Clitandre ...
Pagina 90
... soufflets il rabaissât mon ton . CHRYSALE . C'est parler comme il faut . MARTINE . Monsieur est raisonnable De vouloir pour sa fille un mari convenable . Oui . CHRYSALE . MARTINE . Par quelle raison , jeune et bien fait 90 POETES FRANÇAIS .
... soufflets il rabaissât mon ton . CHRYSALE . C'est parler comme il faut . MARTINE . Monsieur est raisonnable De vouloir pour sa fille un mari convenable . Oui . CHRYSALE . MARTINE . Par quelle raison , jeune et bien fait 90 POETES FRANÇAIS .
Pagina 135
... fille de son frère , Me tint lieu , chère Élise , et de père et de mère . Du triste état des Juifs jour et nuit agité , Il me tira du sein de mon obscurité ; Et , sur mes foibles mains fondant leur délivrance , Il me fit d'un empire ...
... fille de son frère , Me tint lieu , chère Élise , et de père et de mère . Du triste état des Juifs jour et nuit agité , Il me tira du sein de mon obscurité ; Et , sur mes foibles mains fondant leur délivrance , Il me fit d'un empire ...
Pagina 140
... carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les enfans , les vieillards , Et la sœur et le frère , Et la fille et la mère , Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés , que de membres épars , 140 POÈTES FRANÇAIS .
... carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les enfans , les vieillards , Et la sœur et le frère , Et la fille et la mère , Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés , que de membres épars , 140 POÈTES FRANÇAIS .
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
Adieu affreux AGAMEMNON AGATHÉMI âme amis André Chénier ANTIGONE ANTIOCHUS ATHALIE Atrée beau berceau bonheur bords bras brillant bruit chant charmes Chénier cher ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur comédies Corneille DALAINVILLE Dieu dieux discours douce douleur doux ÉGISTHE élégies enfants enfin Érope Ésope esprit fable femmes fille fils fleurs flots frère front fureur gens glacés Glaucon gloire goût Grèce Hélas heureux homme J'ai j'aime jamais jeune jour l'homme l'onde laisse larmes loin Louis Racine lyre main maître malheureux maux méchants mère MÉROPE MIZAEL Molière monde mort mortel mourir naquit NÉARQUE nuit odes OEDIPE ombre ORONTE passer pauvre père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte POLYEUCTE qu'un regard rien rivage rois sage sang sarcelle satire scène sent seul soir soleil sort souffrir style temple terre tombe tombeau tragédie tremble TRISSOTIN triste Tufière VADIUS Vert-Vert veux Victor Hugo vœux voilà vois voit voix Voltaire yeux
Populaire passages
Pagina 206 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Pagina 191 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour. Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir. Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Pagina 96 - Hé bonjour, monsieur du corbeau! Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Pagina 85 - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Pagina 191 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Pagina 160 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Pagina 107 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez ; je suis sourd , les ans en sont la cause , L'un et l'autre approcha , ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps : Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Pagina 102 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Pagina 192 - Que vous nous ravissez? O lac! rochers muets ! grottes! forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux...
Pagina 155 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.