Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle1853 |
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... dernier coup à la dernière tête De la rébellion . Certes , ou je me trompe , ou déjà la Victoire Qui son plus grand honneur de tes armes attend , Est aux bords de Charente en son habit de gloire , Pour te rendre content . Je la vois qui ...
... dernier coup à la dernière tête De la rébellion . Certes , ou je me trompe , ou déjà la Victoire Qui son plus grand honneur de tes armes attend , Est aux bords de Charente en son habit de gloire , Pour te rendre content . Je la vois qui ...
Pagina 44
... dernier soupir ! Non , non , cela n'est point ; on vous trompe , Julie : Rome n'est point sujette , ou mon fils est sans vie ; Je connois mieux mon sang , il sait mieux son devoir . JULIE . Mille , de nos remparts , comme moi l'ont pu ...
... dernier soupir ! Non , non , cela n'est point ; on vous trompe , Julie : Rome n'est point sujette , ou mon fils est sans vie ; Je connois mieux mon sang , il sait mieux son devoir . JULIE . Mille , de nos remparts , comme moi l'ont pu ...
Pagina 47
... dernier de mes trois adversaires , « C'est à ses intérêts que je vais l'immoler , » Dit - il ; et tout d'un temps on le voit y voler . La victoire entre eux deux n'étoit pas incertaine ; L'Albain , percé de coups , ne se traînoit qu'à ...
... dernier de mes trois adversaires , « C'est à ses intérêts que je vais l'immoler , » Dit - il ; et tout d'un temps on le voit y voler . La victoire entre eux deux n'étoit pas incertaine ; L'Albain , percé de coups , ne se traînoit qu'à ...
Pagina 48
... dernier Romain à son dernier soupir , Moi seule en être cause et mourir de plaisir ! ( LES HORACES , acte IV , scène 5. ) Conjuration de Cinna . Cinna raconte à Emilie les progrès de la conjuration 1 . Plût aux dieux que vous - même ...
... dernier Romain à son dernier soupir , Moi seule en être cause et mourir de plaisir ! ( LES HORACES , acte IV , scène 5. ) Conjuration de Cinna . Cinna raconte à Emilie les progrès de la conjuration 1 . Plût aux dieux que vous - même ...
Pagina 99
... dernier ? Est - il aucun moment Qui vous puisse assurer d'un second seulement ? Mes arrière - neveux me devront cet ombrage : Eh bien ! défendez - vous au sage De se donner des soins pour le plaisir d'autrui ? Cela même est un fruit que ...
... dernier ? Est - il aucun moment Qui vous puisse assurer d'un second seulement ? Mes arrière - neveux me devront cet ombrage : Eh bien ! défendez - vous au sage De se donner des soins pour le plaisir d'autrui ? Cela même est un fruit que ...
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
Adieu affreux AGAMEMNON AGATHÉMI âme amis André Chénier ANTIGONE ANTIOCHUS ATHALIE Atrée beau berceau bonheur bords bras brillant bruit chant charmes Chénier cher ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur comédies Corneille DALAINVILLE Dieu dieux discours douce douleur doux ÉGISTHE élégies enfants enfin Érope Ésope esprit fable femmes fille fils fleurs flots frère front fureur gens glacés Glaucon gloire goût Grèce Hélas heureux homme J'ai j'aime jamais jeune jour l'homme l'onde laisse larmes loin Louis Racine lyre main maître malheureux maux méchants mère MÉROPE MIZAEL Molière monde mort mortel mourir naquit NÉARQUE nuit odes OEDIPE ombre ORONTE passer pauvre père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte POLYEUCTE qu'un regard rien rivage rois sage sang sarcelle satire scène sent seul soir soleil sort souffrir style temple terre tombe tombeau tragédie tremble TRISSOTIN triste Tufière VADIUS Vert-Vert veux Victor Hugo vœux voilà vois voit voix Voltaire yeux
Populaire passages
Pagina 206 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Pagina 191 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour. Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir. Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Pagina 96 - Hé bonjour, monsieur du corbeau! Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Pagina 85 - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Pagina 191 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Pagina 160 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Pagina 107 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez ; je suis sourd , les ans en sont la cause , L'un et l'autre approcha , ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps : Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Pagina 102 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Pagina 192 - Que vous nous ravissez? O lac! rochers muets ! grottes! forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux...
Pagina 155 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.