Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle1853 |
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... brillant , le pathétique , le sublime et les peintures poétiques de Shakspeare ; mais il l'emporte sur lui par la force et la profondeur du bon sens , par le but moral qu'il a donné à la comédie , par un coup d'œil perçant qui lui fait ...
... brillant , le pathétique , le sublime et les peintures poétiques de Shakspeare ; mais il l'emporte sur lui par la force et la profondeur du bon sens , par le but moral qu'il a donné à la comédie , par un coup d'œil perçant qui lui fait ...
Pagina 126
... brillant équipage , Cette foule de gens qui s'en vont chaque jour Saluer à longs flots le soleil de la cour ; Mais la faveur du ciel vous donne en récompense Du repos , du loisir , de l'ombre et du silence , Un tranquille sommeil , d ...
... brillant équipage , Cette foule de gens qui s'en vont chaque jour Saluer à longs flots le soleil de la cour ; Mais la faveur du ciel vous donne en récompense Du repos , du loisir , de l'ombre et du silence , Un tranquille sommeil , d ...
Pagina 143
... brillant que l'aurore . ( ESTHER , acte II , scène 1x . ) Bonheur du peuple sous un bon roi . Que le peuple est heureux , Lorsqu'un roi généreux , Craint dans tout l'univers , veut encore qu'on l'aimc Heureux le peuple ! heureux le roi ...
... brillant que l'aurore . ( ESTHER , acte II , scène 1x . ) Bonheur du peuple sous un bon roi . Que le peuple est heureux , Lorsqu'un roi généreux , Craint dans tout l'univers , veut encore qu'on l'aimc Heureux le peuple ! heureux le roi ...
Pagina 248
... brillant , mais plus sage , et du moins son égal . Catinat réunit , par un rare assemblage , Les talents du guerrier et les vertus du sage : Vauban sur un rempart , un compas à la main , Rit du bruit impuissant de cent foudres d'airain ...
... brillant , mais plus sage , et du moins son égal . Catinat réunit , par un rare assemblage , Les talents du guerrier et les vertus du sage : Vauban sur un rempart , un compas à la main , Rit du bruit impuissant de cent foudres d'airain ...
Pagina 249
... Brillant par ses vertus et même par ses vices ; Connaissant le péril , et ne redoutant rien : Heureux guerrier , grand prince , et mauvais citoyen . ( HENRIADE , chant III . ) Élisabeth et l'Angleterre . Sur ce sanglant théâtre où cent ...
... Brillant par ses vertus et même par ses vices ; Connaissant le péril , et ne redoutant rien : Heureux guerrier , grand prince , et mauvais citoyen . ( HENRIADE , chant III . ) Élisabeth et l'Angleterre . Sur ce sanglant théâtre où cent ...
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
Adieu affreux AGAMEMNON AGATHÉMI âme amis André Chénier ANTIGONE ANTIOCHUS ATHALIE beau bientôt bonheur bords bras brillant bruit chant charmes Chénier cher ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur comédies Corneille DALAINVILLE Dieu dieux discours douce douleur doux ÉGISTHE élégies enfants enfin Érope Ésope esprit fable femmes fille fils fleurs flots frère front fureur gens glacés Glaucon gloire goût Grèce Hélas heureux homme J'ai j'aime jamais Jean-François Collin d'Harleville jeune jour l'onde laisse larmes loin Louis Racine lyre main maître malheureux maux méchants mère MÉROPE MIZAEL Molière monde mort mortel mourir naquit NÉARQUE nuit odes OEDIPE ORONTE passer pauvre père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte POLYEUCTE qu'un regard rien rivage rois sage sang sarcelle satire scène sent seul soir soleil sort souffrir style temple terre tombe tombeau tragédie tremble TRISSOTIN triste Tufière VADIUS Vert-Vert veux Victor Hugo vœux voilà vois voit voix Voltaire yeux
Populaire passages
Pagina 206 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Pagina 191 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour. Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir. Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Pagina 96 - Hé bonjour, monsieur du corbeau! Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Pagina 85 - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Pagina 191 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Pagina 160 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Pagina 107 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez ; je suis sourd , les ans en sont la cause , L'un et l'autre approcha , ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps : Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Pagina 102 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Pagina 192 - Que vous nous ravissez? O lac! rochers muets ! grottes! forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux...
Pagina 155 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.