| Jean Marie Roland de la Platière, August Théodore de Baron GIRARDOT - 1860 - 328 pagina’s
...jusqu'à présent, do chanter machi1 nalementen lalin des mots qu'il n'entend pas, tandis qu'il no devrait s'entretenir avec l'Etre suprême que par...plus usuelle. Notre Révolution amènera probablement ces changements salutaires : mais il est instant, et vous le sentirez , dignes Pasteurs , d'effacer... | |
| Aurélien Vivie - 1877 - 492 pagina’s
...machinalement en latin des mots qu'il n'entend pas, tandis qu'il ne devrait s'entretenir avec l'Être suprême que par les épanchements de son cœur, et...plus usuelle. Notre révolution amènera probablement ces changements salutaires; mais il est instant, et vous le sentirez, dignes Pasteurs, d'effacer, dès... | |
| Aurélien Vivie - 1877 - 512 pagina’s
...des contradictions et la plus perfide des combinaisons, on ne l'eût contraint jusqu'à présent de chanter machinalement en latin des mots qu'il n'entend pas, tandis qu'il ne devrait s'entretenir avec l'Être suprême que par les épanchements de son cœur, et les exprimer dans sa langue naturelle et... | |
| 1925 - 780 pagina’s
...des contradictions et la plus perfide des combinaisons, on ne l'eût contraint jusqu'il présent, de chanter machinalement en latin des mots qu'il n'entend...devrait s'entretenir avec l'Etre. Suprême, que par les épanckemens de son cu>ur, et les exprimer dans sa langue naturelle cl la plus (1) AN, F-17. 1309,... | |
| Ferdinand Brunot - 1927 - 678 pagina’s
...des contradictions et la pins perfide des combinaisons, on ne l'eût contraint jusqu'à présent, de chanter machinalement en latin des mots qu'il n'entend...qu'il ne devrait s'entretenir avec l'Etre Suprême, (jue par les e'panc/iemens de son cœur, et les exprimer dans sa langue naturelle et la plus usuelle.... | |
| Ferdinand Brunot - 1927 - 650 pagina’s
...des contradictions et la plus perfide des combinaisons, on ne l'eût contraint jusqu'à présent, de chanter machinalement en latin des mots qu'il n'entend...devrait s'entretenir avec l'Etre Suprême, que par les épanc/iemens de son cœur, et les exprimer dans sa langue naturelle et la plus usuelle. Notre révolution... | |
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