| 1855 - 974 pagina’s
...épouse. Je » supplie donc Votre Majesté de n'avoir aucune commisération » des hérétiques. Le saint roi David n'avait nulle pitié des » ennemis de Dieu. Il les tuait tous. Moïse en un seul jour tua » trois mille habitants du peuple d'Israël '.» Ce moine oubliait qu'à... | |
| [Société de l'histoire de Belgique], Brussels - 1860 - 770 pagina’s
...Dieu, c'est-à-dire son Église. L'office de Votre Majesté est de venger les injures de Dieu et les scandales commis envers son épouse. Je supplie donc...très-saint roi David n'avait nulle pitié des ennemis do Dieu; il les tuait tous sans épargner homme, ni femme. Moïse, en un seul jour, avec ses compagnons,... | |
| François Laurent - 1863 - 558 pagina’s
...l'Écriture Sainte. Écoutons le frère Lorenco, l'ermite de Xerès; il écrit à Philippe II : f Je supplie Votre Majesté, autant que je le puis, de n'avoir...de Jésus-Christ. LE TRÈS-SAINT ROI DAVID N'AVAIT AUCUNE PITIÉ DES ENNEMIS DE DlEU ; IL LES TUAIT TOUS, SANS ÉPARGNER HOMME NI FEMME. MOÏSE, EN UN... | |
| Académie des sciences, lettres et arts d'Arras - 1869 - 682 pagina’s
...c'est-à-dire son Eglise. L'office de Votre Majesté est de venger les injures de Dieu et les scanda'es commis envers son épouse. Je supplie donc Votre Majesté,...n'avoir aucune commisération des hérétiques, qui sent les cruels ennemis de Jésus-Christ. Le très-saint roi David n'avait nulle pitié des ennemis... | |
| François Laurent - 1879 - 566 pagina’s
...Sainte. Écoutons le frère Lorenço, l'ermite de Xerès ; il écrit à Philippe II : « Je supplie Votre Majesté, autant que je le puis, de n'avoir...les cruels ennemis de Jésus-Christ. LE TRÈS-SAINT KOI DAVID N'AVAIT AUCUN K PITIÉ DBS ENNEMIS DU DlEU ; IL LES TUAIT TOUS, SANS ÉPARGNER HOMME NI FEMME.... | |
| Paul Frédéricq - 1884 - 152 pagina’s
...avril 1567. (2) Forneron, Histoire de Philippe II, t. II, p. 108. de venger les injures de Dieu et les scandales commis envers son épouse. Je supplie donc...hérétiques qui sont les cruels ennemis de Jésus-Christ (1). » Ces excitations continuelles, répondant à son propre sentiment, engageaient le roi à ne... | |
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