 | Charles baron Dupin - 1827 - 406 pagina’s
...quinze cents autres millions, afin d'empêcher qu'elle ne pût trop tôt reprendre le bien-être, la splendeur et la force. Voilà donc , en douze années...cent mille étrangers campent sur notre territoire : ils y vivent , aux dépens de notre gloire et de notre fortune, jusqu'à la fin de Tannée 1818.... | |
 | 1827 - 588 pagina’s
...millions , afin d'empêcher qu'elle ne pût trop tût reprendre le bien être , la splendeur et Ja force. Voilà donc, en douze années , neuf milliards...voilà dépossédés de toutes nos conquêtes , et 200,000 étrangers campent sur notre territoire : ils y vivent aux dépens de notre gloire, de notre... | |
 | 1827 - 458 pagina’s
...quinze cents autres millions , afin d'empêcher qu'elle ne pût trop tôt reprendre Je bien-être , la splendeur et la force. Voilà donc, en douze années,...cent mille étrangers campent sur notre territoire : ils y vivent , aux dépens de notre gloire et de notre fortune , jusqu'à la fin de l'année 1818.»... | |
 | P. O. Protin - 1862 - 654 pagina’s
...1,300 autres millions, sans doute pour que la France ne pût trop tôt reprendre sa splendeur et sa force. « Voilà donc, en douze années, neuf milliards...cent mille étrangers campent sur notre territoire : ils y vivent aux dépens de notre gloire et de notre fortune, jusqu'à la fia de l'année 1818. »... | |
 | Edmond Biré, Armand comte de Pontmartin - 1872 - 516 pagina’s
...commerce. Et pour prix de la paix, notre patrie s'est vue condamnée à payer quinze cents autres millions. Voilà donc, en douze années, neuf milliards de francs...cent mille étrangers campent sur notre territoire ('). » (Plusieurs voix à gauche : C'est vrai ! C'est vrai !) PLATON, à M. Victor Cousin. Ah ! ça,... | |
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... splendeur et la force. Voilà donc , en douze années , neuf milliards de francs enlevés à l'industrie productive de la France , et perdus pour jamais. Nous voilà dépossédés de toutes nos conquêtes ; et deux cent mille étrangers campent sur... 