Histoire des ducs de Bourgogne de la Maison de Valois, 1364-1477, Volumes 5-6N.-J.Gregoir, V. Wouters et Cie, éditeurs, 1839 |
Overige edities - Alles bekijken
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
ambassadeurs Anglais archers armée arriva avaient bannière bâtard Bour Bourbon bourgeois Bruges c'était capitaines chancelier Charles château chevaliers chose Clèves compagnies comte d'Armagnac comte d'Étampes comte de Charolais comte de Dammartin comte de Dunois comte de Saint-Pol comte du Maine concile connétable conseil conseillers consentement Couci d'Angleterre d'Armagnac d'Arras Dauphin devant Dieu duc d'Alençon duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Savoie duc de Somerset duc Philippe duchesse Duclercq ennemis envoya États fils Flandre forteresse fût Gand Gantois garnison gens d'armes gens de guerre gentilshommes gogne habitans héraut Histoire de Bourgogne hommes d'armes Jacques de Lalaing Jean justice l'évêque laisser long-temps lord Talbot Luxembourg madame maison maréchal mille monseigneur monsieur de Charolais Monstrelet n'avait n'était noble nommé paix pape passer pays père peuple porte prince Richemont royaume s'en s'était secours seigneur serviteurs siége sire de Croy sire de Lalaing Toison-d'Or traité trèves trouver venir vint voulait
Populaire passages
Pagina 127 - oncle, je vous remerchie du bien et de l'honneur » que vous me laites; je ne le polray ne scauray » desservir, car c'est chose impossible, synon que » pour tout guerdon, je vous donne mon corps, le » corps de ma femme et le corps de mon enfant.
Pagina 102 - SIÈGE s'unissait pour rendre le peuple joyeux d'être délivré du gouvernement des Anglais. « Ah ! disait-on , on voyait bien qu'ils n'étaient » pas en France pour y rester. On n'en a pas vu un semer un » champ de blé ou bâtir une maison; ils détruisaient leurs logis » sans jamais songer à les réparer , et ils n'ont pas peut-être re
Pagina 57 - Successivement arrivèrent les ambassadeurs de l'empereur Sigismond , des rois de Castille, d'Aragon, de Portugal, de Navarre, de Naples, de Sicile, de Chypre, de Pologne, de Danemarck, des ducs de Bretagne et de Milan.
Pagina 169 - Paris, qui avait vu bien des princes, et qui ne se dérangeait pas toujours pour les voir passer ' , courait dans les rues pour regarder le duc de Bourgogne chaque fois qu'il sortait. Son hôtel n'était pas une moindre curiosité ; on y venait de toutes parts pour en admirer les magnificences; il avait fait venir les plus belles tapisseries d'Arras, rehaussées de soie , d'argent et d'or. On admirait surtout celle qui représentait l'histoire de Gédéon ; il l'avait fait faire en l'honneur de la...
Pagina 164 - je vous fais hommage présentement de la » duché de Bourgogne, des comtés de Flandre » et d'Artois, et de tous les pays que je tiens de » la noble couronne de France, et vous tiens à » seigneur, et vous en promets obéissance et » service, et non pas seulement de...
Pagina 272 - Lalaing portait la sienne par le milieu pour se servir, à son choix , ou du bout ferré ou de la masse qui était en bec de faucon. Tantôt il essayait d'entrer dans la visière avec la pointe, tantôt , tenant sa hache des deux mains, il frappait à grands coups de masse sur le casque de l'adversaire. Celui-ci, sans s'émouvoir, parait les coups, et se défendait fièrement. Enfin, en repoussant du tranchant de sa hnche une des attaques du sire de Lalaing, il l'atteignit au défaut du gantelet.
Pagina 252 - princesse , vous en êtes venu à votre inten» don; si je meurs, c'est par vous, et par les » bonnes paroles que vous avez dites de moi » sans cause ni raison. » Et elle se frappait la poitrine en disant : « Sur mon Dieu, sur mon » baptême , je n'ai pas mérité cela ; jamais je » n'eus un tort envers monseigneur le Dauphin.
Pagina 103 - Cambrai, un grand tournoi où il serait tenant avec quarante chevaliers '. Cette entreprise d'armes devait se faire au nom du chevalier de la Licorne. Mais déjà le Duc commençait à être fort mécontent du comte de Saint-Pol; il le trouvait trop attaché aux intérêts du roi, dont, comme on a vu, il avait été ambassadeur. Dans son vœu du Faisan , il avait fait ré1 Coucy.
Pagina 186 - Aragon, dont il avait désiré être le médiateur et l'arbitre. Il espérait bien y gagner quelque chose, et voulait faire valoir les droits qu'il prétendait sur la Biscaye, Après plusieurs conférences tenues à Bayonne, il conclut enfin un traité, dont aucune des parties ne fut contente, pas même lui, qui n'eut point ce qu'il désirait. Il avait cependant gagné à ses intérêts le connétable d'Aragon, en lui faisant une pension de vingt mille livres. L'entrevue des deux rois se fit ensuite...
Pagina 12 - La garnison et les bourgeois du parti anglais furent donc long-temps à se mettre en défense; toutefois on commença à se battre dans les rues. L'évêque était un Bourguignon nommé Jean de Fetigni, il se mit vaillamment à la tête des défenseurs de la ville; mais bientôt après il fut tué. Le bailli se sauva par-dessus les murs ; et le bâtard d'Orléans étant arrivé à la tête de la seconde embuscade, la ville fut entièrement soumise. Ce fut une grande nouvelle pour les Parisiens. Chartres...