 Deux hommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétait en lui-même, disant : Si je meurs , ou que je tombe malade , que deviendront...  Le peuple hier, aujourd'hui,demain - Pagina 151door Abel Joire - 1888 - 220 pagina’sVolledige weergave - Over dit boek
 | Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 348 pagina’s
...XVI. Deux hommes étaient voisins , et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfans, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces...que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfans ? Et cette pensée ne le quittait point , et elle rongeait son cœur comme un ver ronge le frnit... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 254 pagina’s
...une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. 88 PAROLES quiétoit en lui-même, disant : Si je meurs, ou que je tombe...deviendront ma femme et mes enfants? Et cette pensée ne le quittoit point, et elle rongeoit son cœur comme un ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 214 pagina’s
...petits enfants, et son seul travail pour lrs faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétoit en lui-même, disant : Si je meurs, ou que je tombe...deviendront ma femme et mes enfants ? Et cette pensée ne le quittoit point, et ellerongeoit son cœur comme un ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien que... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 250 pagina’s
...hommes étoîent voisins, et chacun '> f--/'' d'eux avoit une femme et plusieurs petits enfants , et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétoit en lui-même, disant: Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1837 - 352 pagina’s
...XVII. Deux hommes étoient voisins, et chacun d'eux avoit une femme et plusieurs petits enfans, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétoit en luimême, disant : Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1838 - 676 pagina’s
...son seul travail pour les faire vivre. • Et l'un de ces deux hommes s'inquiétoit en Jui-méme , disant : Si je meurs, ou que je tombe malade , que...ma femme et mes enfants? , Et cette pensée ne le quittoit point, et elle rongeoit son cœur comme un ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1839 - 726 pagina’s
...Deux hommes étaient voisins , et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants , et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces deux hommes s'inquiétait en luimême, disant :SÏ je meurs, ou que je tombe malade , que deviendront ma femme et mes enfants ? Et celte pensée... | |
 | Antonin Roche - 1845 - 766 pagina’s
...Deux liommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces...que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfan's? Et cette pensée ne le quittait point , et elle rongeait son cœur comme un ver ronge le fruit... | |
 | M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1850 - 176 pagina’s
...I. DEUX hommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces...disant : Si je meurs, ou que je tombe malade, que devien dront ma femme et mes enfants 1 Et cette pensée ne le quittait point, et elle rongeait son... | |
 | A. A. V. de Fivas - 1852 - 166 pagina’s
...I. DEUX hommes étaient voisins, et chacun d'eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail pour les faire vivre. Et l'un de ces...disant : Si je meurs, ou que je tombe malade, que devien dront ma femme et mes enfants ? Or, bien que la même pensée fût venue également à l'autre... | |
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