 | Voltaire - 1750 - 116 pagina’s
...Philofophes s'efforçoient jadis ou d'acquérir ou de montrer j accablé de louffrances au dedans & au dehors, privé de la vue, perdant chaque jour une partie de toi-même , ce n'étoitque par un excès de vertu que tu n'étois point malheureux , &c cette vertu ne te coûtoit... | |
 | Voltaire - 1757 - 364 pagina’s
...Pru'lofophes s'efforçaient jadis ou d'acquérir ou de montrer ; accablé de fouffirances au dedans & au dehors , privé de la vue , perdant chaque jour une partie de toi - même , ce n'était que par un excès de vertu que tu n'étais point malheureux , & cette vertu... | |
 | Voltaire - 1757 - 368 pagina’s
...Philofophes s'efforçaient jadis ou d'acquérir ou de montrer -, accablé de fourfrances au dedans & au dehors, privé de la vue, perdant chaque jour une partie de toi - même , ce n'était que par un excès de vertu que tu n'étais point malheureux , & cette vertu... | |
 | Voltaire - 1770 - 386 pagina’s
...philofophes s'efforçaient jadis ou d'acquérir ou de montrer '•, accablé de fouffrances au dedans St au dehors , privé de la vue , perdant chaque jour une partie de toi - même •> ce' n'était que par un €xcè* de vertu que tu n'étais point malheureux » & cette... | |
 | Thomas (M., Antoine Léonard) - 1792 - 332 pagina’s
...les philosophes s'efforçoient jadis ou » d'acquérir , ou de montrer. Accablé de » souffrances , privé de la vue , perdant » chaque jour une partie de toi-même , ce » n'étoit que par un excès de vertu que tu » n'étois point malheureux ; et cette vertu r» ne... | |
 | Luc Vauvenargues (Marquis de Clapiers) - 1797 - 422 pagina’s
...retraites , malgré la rigueur de la saison , et les attaques continuelles des hussards ennemis. » câblé de souffrances au dedans et au » dehors , privé de la vue , perdant cha» que jour une partie de toi-même , ce . » n'était que par un excès de vertu que » tu n'étais... | |
 | 1812 - 1028 pagina’s
...les philosophes s'efforçoient jadis » ou d'acquérir, ou de montrer. Accablé de souf» frances , privé de la vue , perdant chaque jour » une partie de toi-même , ce n'étoit que par un ». excès de vertu que tu n'étois point malheureux^ » et cette vertu ne te coûtoit... | |
 | Antoine-Léonard Thomas - 1812 - 252 pagina’s
...les philoso„ phes s'efforçoient jadis ou d'acquérir, ou de munit trer. Accablé de souffrances , privé de la vue , « perdant chaque jour une partie de toi-même , ce « n'étoit que par un excès de vertu que tu n'étois « point malheureux'; et cette vertu ne te coùtoit... | |
 | Vauvenargues - 1821 - 350 pagina’s
...sentis approcher avec cette indifférence « que les philosophes s'efforçaient jadis ou d'ac« quérir ou de montrer ; accablé de souffrances « au dedans et au dehors, privé de la vue, per« dant chaque jour une partie de toi-même , ce « n'était que par un excès de vertu que tu n'é«... | |
 | Vauvenargues - 1823 - 410 pagina’s
..., tu le sentis approcher avec cette « indifférence que les philosophes s'effor« calcul jadis ou d'acquérir ou de montrer ; « accablé de souffrances...chaque « jour une partie de toi-même , ce n'était 5. « que par un excès de vertu que lu n'étais <i point malheureux , et que cette vertu ne « te... | |
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... de toi-même, ce n'était que par un excès de vertu que tu n'étais point malheureux, et cette vertu ne te coûtait point d'effort. Je t'ai vu toujours le plus infortuné des hommes, et le plus tranquille. 
