Le siège de Lille en 1792Danel, 1842 - 79 pagina's |
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1.er octobre 29 septembre Albert de Saxe approvisionnés en munitions Armentières assiégeants avaient avons bataillon batteries bombardement bombes boulets rouges Cambrai canonniers cents hommes cesse Charleville citadelle citadelle de Lille citoyens concitoyens conseil de guerre Conseil municipal Convention CONVENTION NATIONALE courage d'infanterie défense dirigea duc Albert Dumouriez Dunkerque enfants ennemis Envoyé à Lille firent Fives flammes fût garde nationale garnison général autrichien général Ruault Gentil-Descamps gloire glorieux habitants Haubourdin Idem intrépides Joseph Vins jours l'église Saint-Étienne l'ennemi l'incendie lettre liberté Lillois Longwi maire maisons malveillance menacés Messieurs Meyssac militaire mille hommes Ministre de l'intérieur Moniteur Monsieur mortiers n'avait nom de Lille Notre-Dame Ovigneur Pas-de-Calais patrie patriotisme Pays-Bas autrichiens pendant peuple pièces de canon population portes proclamation projectiles qu'un quartier Saint-Sauveur reçut régiment remboursement remparts réponse république retraite des Autrichiens ROLAND ruines secours septembre SIÉGE DE LILLE sieur sommes tyrans Urbi et Orbi Voyez le fac-simile Watteau zèle
Populaire passages
Pagina 34 - Nous venons de renouveler le serment d'être fidèles à la nation, de maintenir la liberté et l'égalité ou de mourir à notre poste ; nous ne sommes pas des parjures.
Pagina 19 - la liberté. Les gémissements continuels que vous poussez, Messieurs, sont fatigants. Le ministre de la guerre m'assure que vous êtes approvisionnés en munitions, en hommes et en vivres, de manière à résister à des forces bien autrement imposantes que celles dont vous êtes menacés. Vous demandez des armes ; mais à quoi
Pagina 46 - et vos chers enfants; défendez vos habitations des flammes; soyez assurés, soyez absolument certains que la République , riche de ses vastes domaines et des propriétés des infâmes émigrés, fera rebâtir vos maisons, vous indemnisera de toutes vos pertes. Le Conseil de guerre en prend
Pagina 22 - ennemis connaissent ce généreux dévouement, » et vous les ferez fuir ; ils n'inondent votre territoire, ils ne vous » harcèlent que parce qu'ils espèrent encore trouver des traîtres ou » des lâches! » Notre cœur a bondi à la lecture de ce passage ; il se soulève encore en le transcrivant ; et c'est à des Français , à des hommes libres,
Pagina 23 - Vous paraissez douter, Messieurs, que la lettre que je vous ai écrite le 15 soit mon ouvrage : cessez d'avoir cette crainte injurieuse à l'attention que j'ai de surveiller tout ce qui porte ma signature. Ma lettre du 15 est le résultat d'une conférence du Conseil exécutif provisoire où j'avais porlé vos plaintes.
Pagina 23 - y calcula les vivres, forces et munitions que vous aviez ; on fut d'accord que la place de Lille, secondée par la garde nationale de la ville, pouvait défier cent mille assiégeants et leur résister pendant plus d'un mois. Je n'ai donc pu traiter que de faiblesse et de pusillanimité les plaintes continuelles que vous m'adressez ; et je vous
Pagina 34 - la citadelle, offrir à ses habitants sa puissante protection ; mais si, par une vaine résistance, on méconnaissait les offres que je leur fais, les batteries étant dressées et prêtes à foudroyer la ville, la municipalité sera responsable
Pagina 20 - Que vos ennemis connaissent ce généreux dévouement et vous les ferez fuir. Ils n'inondent votre territoire, ils ne vous harcèlent que parce qu'ils espèrent encore trouver des traîtres ou des lâches. Voilà, Messieurs, ce que mon âme opprimée par votre manque de courage doit vous dire.
Pagina 34 - m'engage, Monsieur, de vous sommer, vous et votre garnison, de me rendre la ville et la citadelle de Lille, pour prévenir l'effusion du sang. Si vous vous y refusez, Monsieur, vous me forcerez, malgré moi, de bombarder une ville riche et peuplée que j'aurais désiré ménager.
Pagina 58 - dont le récit vous ferait frémir. Une foule d'actions dignes des héros des anciennes républiques méritent de fixer votre attention. Nous vous les présenterons dans une autre lettre. Les citoyennes ont égalé les citoyens par leur intrépidité ; tous, en un mot, se sont montrés